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Le Sanctuaire de Notre-Dame de Vie de Venasque.
La chambre du Bienheureux Père Marie-Eugène. Sur le bureau, entre autre : le crucifix de sa profession ; la statue de Saint Élie, Père et patriarche du Carmel, modelée par un membre de N D de Vie, représente Élie, accablé sous la genévrier, avec la cruche d'eau et le pain à ses pieds (un petit couteau, le 'glaive d'Élie’, a été mis entre ses bras par le Père lui-même) ; la petite statue de Ste Thérèse de l'Enfant-Jésus lui a été offerte par un Carmel. Les livres de la bibliothèque ont tous appartenu au Père.
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La chambre du Bienheureux Père Marie-Eugène.
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La chambre du Bienheureux Père Marie-Eugène. Le béret et la canne, suspendus par lui-même à l'angle de l'étagère lui servaient lorsqu'il sortait.
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Bâtiment de l'Institut. La spiritualité de l'institut est carmélitaine. Ses membres travaillent dans de multiples secteurs de la vie économique et sociale; certains d'entre eux s'impliquent dans l'animation de Centres Spirituels, ou encore exercent la tutelle de quelques établissements scolaires. Les membres vivent de leur activité professionnelle dans le monde (cadres, fonctionnaires, professeurs, techniciens, infirmiers, etc.) et ont une vie sociale comme tout laïc, vivant seuls ou parfois par deux ou trois membres dans un esprit familial. Ils n'ont aucun signe distinctif. La formation, qui nécessite une interruption de la vie professionnelle de deux ans, se fait à l'intérieur de l'institut. Les membres (prêtres et laïcs) font deux heures d'oraison quotidienne et prennent annuellement un temps de ressourcement d'au moins trois semaines consécutives.
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Chapelle Sainte Emérentienne. La première pierre a été bénie le 2 février 1976 par le Père François Retoré et l’édifice consacré par le Cardinal Mayer le 24 août 1977, en la fête de Saint Barthélemy et en l’anniversaire de la fondation du Carmel de Saint Joseph d’Avila, premier monastère de la Réforme thérésienne.
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Chapelle Sainte Emérentienne. Manuel Aymerich, architecte madrilène, en a conçu les plans à la demande de Marie Pila, co-fondatrice de l’Institut Notre Dame de Vie. L’entreprise Moro de Montélimar en a assuré la réalisation. La cloche, œuvre de François Granier, fondeur à Hérépian (Hérault) a été ‘baptisée’ Marie-Emérentienne le 27 novembre 1988 en la fête de St Siffrein, par Mgr Kia archevêque de Taipei (Taiwan). Elle rythme la vie chrétienne par ses appels à la prière : l’Angélus le matin, à midi et le soir, l’Eucharistie dans la journée. Son timbre - la note Si - est en accord avec celui des cloches de Venasque (Ré, Sol, Si, Do) et de Notre-Dame de Vie.
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Chapelle Sainte Emérentienne. L’originalité se trouve essentiellement dans la technique qui a permis de construire un édifice sans piliers, dont la couverture, faite de coques de béton, repose tout entière sur un portique central. Les 33 coques qui forment le toit sont accrochées au portique central. Habituellement utilisées comme poutres dans des constructions de grande ampleur, elles ont été placées ici côte à côte et décalées de façon à laisser passer la lumière zénithale.
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Chapelle Sainte Emérentienne. Les 33 coques qui forment le toit sont accrochées au portique central. Habituellement utilisées comme poutres dans des constructions de grande ampleur, elles ont été placées ici côte à côte et décalées de façon à laisser passer la lumière zénithale.
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Chapelle Sainte Emérentienne. L’originalité se trouve essentiellement dans la technique qui a permis de construire un édifice sans piliers, dont la couverture, faite de coques de béton, repose tout entière sur un portique central. Les 33 coques qui forment le toit sont accrochées au portique central. Habituellement utilisées comme poutres dans des constructions de grande ampleur, elles ont été placées ici côte à côte et décalées de façon à laisser passer la lumière zénithale.
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Chapelle Sainte Emérentienne. L’arc du portique repose sur les deux piliers Nord et Sud dont la partie enterrée est aussi importante que celle qui paraît aux regards. Le Christ et la Vierge se font face, comme pour porter la totalité de l’édifice.
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Chapelle Sainte Emérentienne. Le tabernacle en bronze, lieu de la présence de Dieu, est une œuvre de la fonderie d’art allemande « Bronzes Strassacker ». Le Christ (sans doute du 16ème siècle) provient d’Agen, tandis que la vieille poutre de chêne-vert qui forme la croix est le don d’un habitant de Venasque.
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Chapelle Sainte Emérentienne. La statue de la Vierge (18eme siècle) provient aussi d’Agen.
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Chapelle Sainte Emérentienne. Le mur principal en pierres de Crillon apparentes s’ouvre sur le chœur tels deux larges bras et s’impose comme une image significative de l’Eglise corps mystique du Christ : chaque pierre est différente, chacune a sa place plus ou moins importante, mais toutes sont nécessaires. Hauteur maximale sous la voûte : 17 mètres. Largeur : 42 mètres. Profondeur : 36 mètres. Surface : 970 m2. Surface du chœur : 110 m2. Longueur du portique central, entre les piliers : 28 mètres. Largeur des poutres du portique : 2 mètres Largeur des coques : 2,50 mètres. La plus longue coque : 26,60 mètres ; 22,75 tonnes. Nombre de places assises : 785
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Le Sanctuaire de Notre-Dame de Vie de Venasque.
Chapelle Sainte Emérentienne. A l’opposé, l’autre mur de pierre se déplie sous les coques et contribue à donner l’allure d’un grand coquillage ouvert à cet espace harmonieux qui épouse la pente de la colline. Le maître d’œuvre a réussi, en mariant pierre et béton, sobriété et audace, à créer un lieu de prière qui trouve son plein achèvement lors des célébrations liturgiques.
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Le Sanctuaire de Notre-Dame de Vie de Venasque.
Chapelle Sainte Emérentienne. Le chœur est le point de convergence des regards qui embrassent dans le même mouvement l’autel, le tabernacle et le Christ en croix. L’autel, monolithe de cinq tonnes taillé par M. Altoviti dans un bloc de roche d’Espeil, a été extrait d’une carrière du Lubéron et posé sur un dallage de pierre de Trani (Italie).
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Le Sanctuaire de Notre-Dame de Vie de Venasque.
Chapelle Sainte Emérentienne. Les 33 coques qui forment le toit sont accrochées au portique central. Habituellement utilisées comme poutres dans des constructions de grande ampleur, elles ont été placées ici côte à côte et décalées de façon à laisser passer la lumière zénithale. Les 157 m2 de vitraux ont été conçus et exécutés par Jean-Marie Balayn, maître-verrier à Loriol (Drôme).
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Le Sanctuaire de Notre-Dame de Vie de Venasque.
Chapelle Sainte Emérentienne. Sainte Emérentienne était une jeune esclave romaine du 4èm' siècle, sœur de lait de Sainte Agnès et lapidée sur la tombe d’Agnès. Humble et fidèle jusqu’à la mort, elle a été donnée pour modèle aux membres de Notre Dame de Vie par le Père Marie-Eugène de l’Enfant-Jésus, carme, fondateur de l’Institut. La statue porte dans ses mains des pierres, signe de son martyre
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Mazan
Ces sarcophages sont parmi les vestiges les plus importants que possède le Comtat Venaissin. Ils peuvent être datés des V et VIe s. et semblent être les restes d’une nécropole chrétienne. Il subsiste aujourd’hui 64 sarcophages complets sur les 144 qui avaient été recensés en .1842. La tradition veut qu’ils aient été découverts à environ 2 km de là, le long d’une voie romaine, le chemin Mercadier (c’est-à-dire des marchands), qui reliait Carpentras à Mormoiron. Aucun élément ne permet toutefois de confirmer cette hypothèse. Il est aussi possible que ces sarcophages aient été placés là dès l’origine. Ce site est probablement un lieu sacré très ancien, une urne cinéraire gallo-romaine y ayant été retrouvée. La disposition actuelle date de 1858, le mur de clôture du cimetière étant alors construit et couronné avec les sarcophages.
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Taillés dans un calcaire local, ils sont massifs et se composent d’une cuve rectangulaire d’une seule pièce et d’un couvercle à double, pente parfois agrémenté d’acrotères en saillie. Le décor, souvent absent, est très simple : croix, hache, soc de charrue, couronne. Cet ensemble de sarcophages est rare en Provence si l’on excepte les Alyscamps d’Arles ou la nécropole découverte à Ménerbes.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Située au nord-est du village cette chapelle a vraisemblablement été édifiée vers le XIe s. Les substructions mises â jour dans le chœur pourraient indiquer que ce bâtiment en a remplacé un autre plus ancien. Bien qu’excentrée, cette chapelle est, jusqu’en 1324, l’église paroissiale, celle-ci étant alors transférée intra-muros.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Au XVIIe s., une sacristie et un premier clocher sont ajoutés. Le porche et le clocher actuel sont construits à la fin du XIXe s. Un escalier est alors aménagé pour descendre dans la chapelle.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Sous le poids de la voûte, les murs de la nef s’écartent au XVe s. De puissants contreforts sont alors édifiés. L’un d’eux porte une inscription rappelant ces travaux. Le dessus des contreforts sont recouverts de couvercles de sarcophages.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Un escalier est à la fin du XIXe s aménagé pour descendre dans la chapelle. En effet, construite de plain-pied, elle a été peu à peu enterrée par la terre provenant des sépultures. Ce fait explique l’aspect trapu du bâtiment. Par ailleurs, le niveau du sol a été surélevé à l’intérieur.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Les décors en stucs qui ornent la façade semblent avoir été exécutés au XVIIIe s. Le gypse fut utilisé à la place du bois à cause de sa rareté dans la région.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Avec sa nef unique couverte d’une voûte en plein cintre, son abside pentagonale à l’extérieur et semi-circulaire à l’intérieur, cette chapelle est du plus pur style roman provençal.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Fresque du XIXe siècle, avec la devise des Chartreux.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
Des fresques, que l’on peut dater du XVIIe s. ornent l’abside et une partie de la voûte.
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Mazan. Notre-Dame de Pareloup
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