Digitale pourpre.
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Le ruisseau des moulins.
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Ces moulins à eau installés le long du ruisseau qui descend du col de Gelaccia produisaient de l'huile de ressence pour les savonneries de Marseille à partir du marc d’olives qui résultait du pressage dans les moulins du village.
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Une meule.
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A la fontaine publique construite par les Ponts et Chaussées dans les années 1850, fut ajouté un lavoir à la fin du XIXe siècle. C’était un progrès considérable qui évitait aux femmes du quartier de pénibles déplacements à la rivière.
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Le lavoir était utilisé le premier jour de la lessive, a bucata, pour un prélavage au savon et battre le linge. Le troisième jour, après le coulage dans le cuvier, les femmes rinçaient leur linge dans ce bassin. C’était le lieu de la convivialité féminine par excellence.
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Baie de Cupabia. Nous sommes sur un sentier du réseau « Da paesi à paesi » permettant de relier les villages les uns aux autres. Ce maillage Inter-villages, qui peut également relier des territoires voisins, constitue l’essentiel des sentiers
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Golfe de Valinco. Sur ce territoire du bas Tàravu, les villageois de moyenne et de haute montagne de cette vallée descendaient pour cultiver les céréales car les terres autour des villages de l’Altu Taravu et de l’Urnanu ne suffisaient plus à nourrir les leurs. Chaque communauté montagnarde disposait d’un territoire en plaine. Le fleuve Taravu se divise en deux branches, la plus importante étant à l'Est. L’autre bras servait d'émissaire à l’étang de Tanchiccia. La partie occidentale s’appelle Pistigliolu, mot qui rappelle que le lieu était pestilentiel à l’origine de la malaria endémique. De nombreux oiseaux migrateurs hivernent sur les plans d’eau dont le héron, des canards, des aigrettes. D’autres viennent s’y reproduire comme la rousserolle effervatte, une fauvette des ruisseaux ou le grèbe castagneux dont le cri ressemble à un hennissement
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Baie de Cupabia. Cupabia constitue un espace naturel remarquable qui est aujourd’hui classé en Zone Naturelle d’intérêts Ecologique, Floristique et Faunistique (Z.N.l.E.F.F.) sous le nom de « Dune et Zone Humide de Cupabia ». La zone est représentative de la végétation méditerranéenne. Elle regroupe un ensemble de milieux et d’habitats littoraux diversifié et l’on note la présence de plusieurs espèces déterminantes. Elle est constituée par les dunes de sable et les boisements littoraux d’arrière plages de Cupabia et de Scogliu di Vintura. Ainsi, sur le sable un peu élevé et recouvert par la mer lors des tempêtes, se-développent des dunes à chiendent des sables et à panicauts. L’abondance de cette dernière espèce est d’ailleurs l’une des caractéristiques de la plage de Cupabia. Plus haut, à l’emplacement des anciennes dunes, sont observés des végétaux de petite taille comme l'immortelle d’Italie et le ciste à feuilles de sauge. Ils forment des “garrigues" ou fruticées (formation végétale constituée d’arbustes et d’arbrisseaux) basses et claires.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Cupabia.
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Plage de Capanella.
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Plage de Capanella.
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Plage de Capanella.
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Torra di Capanella. Les tours s’inscrivent dans le programme de fortification du littoral de la Corse entrepris par l’Office de Saint-Georges à la fin du Moyen Âge. Édifiées au XVIe siècle, les tours, systématiquement visibles de l’une à l’autre, servaient à la défense du littoral de l’île à une période où les attaques barbaresques étalent très fréquentes et violentes.
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Torra di Capanella.
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