Saint Blaise. <br> Tour ronde du rempart paléochrétien, Ve ap J.C.
Saint Blaise.
Tour ronde du rempart paléochrétien, Ve ap J.C.
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Saint Blaise. <br> Marque épigraphique K.
Saint Blaise.
Marque épigraphique K.
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Saint Blaise. <br>
Saint Blaise.
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Saint Blaise. <br> Fondation du rempart grec.
Saint Blaise.
Fondation du rempart grec.
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Saint Blaise. <br> Renfort en grand appareil du rempart grec IIe av J.C.
Saint Blaise.
Renfort en grand appareil du rempart grec IIe av J.C.
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Saint Blaise. <br> Dans le  rempart primitif, on rencontre des pierres chanfreinées d'anciens monuments funéraires gaulois (stèles). Les a-t-on utilisées en souvenir des premiers habitants du site ?
Saint Blaise.
Dans le rempart primitif, on rencontre des pierres chanfreinées d'anciens monuments funéraires gaulois (stèles). Les a-t-on utilisées en souvenir des premiers habitants du site ?
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Saint Blaise. <br> Tour du rempart archaïque, VIe av JC.
Saint Blaise.
Tour du rempart archaïque, VIe av JC.
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Saint Blaise. <br> Merlons.
Saint Blaise.
Merlons.
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Saint Blaise. <br> Bastion polygonal du rempart grec. La fortification hellénistique forme le monument majeur de cette agglomération. À peu de chose près, elle suit le tracé et la conformation du rempart archaïque, ce qui a permis de dire qu'elle en constituait l'habillage monumental. Sur ce plan, deux exemples sont éloquents : l'impressionnant bastion polygonal sud, qui englobe au moins une tour primitive, et la porte principale et médiane dont le plan reprend celui de l'ouvrage antérieur.
Saint Blaise.
Bastion polygonal du rempart grec. La fortification hellénistique forme le monument majeur de cette agglomération. À peu de chose près, elle suit le tracé et la conformation du rempart archaïque, ce qui a permis de dire qu'elle en constituait l'habillage monumental. Sur ce plan, deux exemples sont éloquents : l'impressionnant bastion polygonal sud, qui englobe au moins une tour primitive, et la porte principale et médiane dont le plan reprend celui de l'ouvrage antérieur.
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Saint Blaise. <br> Bastion polygonal du rempart grec. Sauf une lacune d'environ 70 mètres dans sa partie centrale, on en connaît quasiment tout le développement et tous les ouvrages. Dans un parcours en ligne brisée de plus de 400 mètres, qui suivent les accidents du relief. L'enceinte comprend 11 courtines, ponctuées de 3 tours quadrangulaires et d'autant de saillants, qualifiés aussi de bastions. Elle est percée d'une porte charretière et de trois ou quatre poternes.
Saint Blaise.
Bastion polygonal du rempart grec. Sauf une lacune d'environ 70 mètres dans sa partie centrale, on en connaît quasiment tout le développement et tous les ouvrages. Dans un parcours en ligne brisée de plus de 400 mètres, qui suivent les accidents du relief. L'enceinte comprend 11 courtines, ponctuées de 3 tours quadrangulaires et d'autant de saillants, qualifiés aussi de bastions. Elle est percée d'une porte charretière et de trois ou quatre poternes.
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Saint Blaise. <br> Bastion polygonal du rempart grec.
Saint Blaise.
Bastion polygonal du rempart grec.
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Saint Blaise. <br> Bastion polygonal du rempart grec.
Saint Blaise.
Bastion polygonal du rempart grec.
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Saint Blaise. <br> Poterne et tour ouest des fortifications grecque et paléochrétienne.
Saint Blaise.
Poterne et tour ouest des fortifications grecque et paléochrétienne.
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Saint Blaise. <br> Bastion polygonal du rempart grec.
Saint Blaise.
Bastion polygonal du rempart grec.
98
Saint Blaise. <br> Porte piètonne et tour sud du rempart grec.
Saint Blaise.
Porte piètonne et tour sud du rempart grec.
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Saint Blaise. <br> Reconstitution d'un pressoir à huile.
Saint Blaise.
Reconstitution d'un pressoir à huile.
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Saint Blaise. <br> Reconstitution d'un pressoir à huile.
Saint Blaise.
Reconstitution d'un pressoir à huile.
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Nous ne savons rien de la nécropole gauloise, mais Henri Rolland a dégagé une partie du cimetière de la ville d'Ugium, un des plus importants du Midi de la France. Hormis quelques sépultures placées près de la chapelle Saint-Blaise, c'est surtout au sud et à l'est des remparts que l'on peut encore découvrir près de 300 tombes, dispersées sur le plateau de Castillon, dans un environnement de carrières et de voies à ornières.
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Nous ne savons rien de la nécropole gauloise, mais Henri Rolland a dégagé une partie du cimetière de la ville d'Ugium, un des plus importants du Midi de la France. Hormis quelques sépultures placées près de la chapelle Saint-Blaise, c'est surtout au sud et à l'est des remparts que l'on peut encore découvrir près de 300 tombes, dispersées sur le plateau de Castillon, dans un environnement de carrières et de voies à ornières.
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Parfois groupées en petits ensembles familiaux, elles ont été creusées à même le roc et recouvertes de pierres plates. Par leurs caractéristiques et par quelques objets mis au jour, ces sépultures appartiennent à la période wisigothique (Ve-VIe s. apr. J.-C.)
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Parfois groupées en petits ensembles familiaux, elles ont été creusées à même le roc et recouvertes de pierres plates. Par leurs caractéristiques et par quelques objets mis au jour, ces sépultures appartiennent à la période wisigothique (Ve-VIe s. apr. J.-C.)
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Ce sont des cavités rectangulaires, parmi lesquelles les nombreuses fosses de petite taille signalent des tombes d'enfants. Souvent multiples, les inhumations contiennent des défunts allongés sur le dos, les bras le long du corps ou repliés sur le thorax, la tête souvent calée dans un alvéole. Elles ne renferment pas de mobilier, selon la manière dépouillée du rite chrétien.
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Ce sont des cavités rectangulaires, parmi lesquelles les nombreuses fosses de petite taille signalent des tombes d'enfants. Souvent multiples, les inhumations contiennent des défunts allongés sur le dos, les bras le long du corps ou repliés sur le thorax, la tête souvent calée dans un alvéole. Elles ne renferment pas de mobilier, selon la manière dépouillée du rite chrétien.
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Les inhumations contiennent des défunts allongés sur le dos, les bras le long du corps ou repliés sur le thorax, la tête souvent calée dans un alvéole.
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Les inhumations contiennent des défunts allongés sur le dos, les bras le long du corps ou repliés sur le thorax, la tête souvent calée dans un alvéole.
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Tombe d'enfant.
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.). Tombe d'enfant.
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Saint Blaise. <br> Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.).
Saint Blaise.
Tombes rupestres d'époque paléochrétienne (Ve-VIIIe s. apr. J.-C.).
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Saint Blaise. <br> Cette chapelle romane du XIIe siècle a une abside orientée nord-est, restaurée au XIIIe siècle. La façade fut refaite en 1608. Elle est mentionnée en 1156 dans une bulle du pape Anastase IV : elle s'appelle à l'origine Notre-Dame-de-Castelveyre et fait office d'église paroissiale. C'est au XIIIe siècle qu'elle est dédiée à Saint-Blaise.
Saint Blaise.
Cette chapelle romane du XIIe siècle a une abside orientée nord-est, restaurée au XIIIe siècle. La façade fut refaite en 1608. Elle est mentionnée en 1156 dans une bulle du pape Anastase IV : elle s'appelle à l'origine Notre-Dame-de-Castelveyre et fait office d'église paroissiale. C'est au XIIIe siècle qu'elle est dédiée à Saint-Blaise.
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La chapelle Saint Blaise. <br> Les travaux de fouille ont permis de comprendre la superposition de trois églises successives:
- La première, visible au nord de la zone, appartient à l'époque dite
La chapelle Saint Blaise.
Les travaux de fouille ont permis de comprendre la superposition de trois églises successives: - La première, visible au nord de la zone, appartient à l'époque dite "paléochrétienne" (VIe siècle ap J.-C). Reflet d'une technique de construction aboutie, cet édifice, de 30 m de long pour environ 11 m de large dominant l'étang de Citis, comportait un pavement de dalles calcaires régulièrement agencées. - Durant le Moyen-Âge central (Xe-XIe siècles), la construction d'une église plus petite nécessite la destruction de l'ancien édifice devenu trop grand pour la petite communauté. Témoignant des rites funéraires de l'époque, un cimetière se concentre autour de cette nouvelle chapelle.
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La chapelle Saint Blaise. <br> Trace de la première église.
La chapelle Saint Blaise.
Trace de la première église.
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La chapelle Saint Blaise. <br> Deuxième chapelle du Moyen-Âge central (Xe-XIe siècles). La construction d'une église plus petite nécessite la destruction de l'ancien édifice devenu trop grand pour la petite communauté.
La chapelle Saint Blaise.
Deuxième chapelle du Moyen-Âge central (Xe-XIe siècles). La construction d'une église plus petite nécessite la destruction de l'ancien édifice devenu trop grand pour la petite communauté.
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La chapelle Saint Blaise. <br> Deuxième chapelle du Moyen-Âge central (Xe-XIe siècles). La construction d'une église plus petite nécessite la destruction de l'ancien édifice devenu trop grand pour la petite communauté.
La chapelle Saint Blaise.
Deuxième chapelle du Moyen-Âge central (Xe-XIe siècles). La construction d'une église plus petite nécessite la destruction de l'ancien édifice devenu trop grand pour la petite communauté.
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