Goudargues. Les flèches des deux tours-clochers sont à crochets.
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Goudargues. Le chevet pentagonal de l'abbatiale montre bien le contraste entre l'appareil du XIIe siècle de teinte plus claire et à joints soignés, avec l'appareil utilisé pour la surélévation des rives au XIXe siècle.
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Goudargues. Mur d’enceinte du monastère.
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Goudargues.
Salle capitulaire (vestige de l'abbaye). La salle capitulaire», probablement l’ancien réfectoire, est une ancienne salle de réunion des chanoines de l'église. Aujourd'hui, la salle sert de lieu d'exposition culturel et artistique.
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Goudargues. L'ampleur des dimensions de la salle “capitulaire”, 32 m sur 12 m, donne un aperçu de l'étendue du cloître disparu et de l'importance de la communauté monastique. Elle était éclairée, à l'ouest, par trois baies plein cintre et, à l'est, par une baie identique.
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Goudargues. Chapelle “Notre Dame de Caseneuve”, élevée en 1130, donc le plus ancien bâtiment du village.
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Goudargues. Abside de la cChapelle “Notre Dame de Caseneuve”, la deuxième église.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Le lavoir.
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Goudargues. Les platanes qui bordent la Fontaine ont été plantés en 1821. Dans les années 1950 un générateur, actionné par l’eau de la Fontaine, permettait d’alimenter quelques foyers en électricité.
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Goudargues.
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Goudargues.
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Goudargues. Le moulin à huile a cessé ses activités après le rude hiver de 1956 qui a causé la perte de la majorité des d’oliviers. De nos jours, la Fontaine alimente encore quelques potagers avant de rejoindre les méandres de la Cèze.
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Goudargues. Déversoir de la Fontaine.
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Goudargues.
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Goudargues. Pigeonnier du moulin.
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Goudargues. Pigeonnier du moulin.
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Goudargues. Le village de Cornillon dans le lointain.
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Goudargues. Le village de Cornillon dans le lointain.
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CORNILLON. Le village tire son nom d’une famille gallo-romaine, les Cornelli, que l’on trouve à Uzès après la mort de l’Empereur Auguste (14 après J.C ) et qui s’installe dans un grand domaine rural situé à la Vérune.
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CORNILLON. La première mention jusqu’alors connue de Cornillon date de 1121 « CASTRUM de CORNILIONE » dans la Galla Christiana, indiquant la présence d’un premier château.
Cette seigneurie dépendant des Comtes de Toulouse et des évêques d’Uzès, appartiendra à différents seigneurs mentionnés jusqu’au milieu de XIVe siècle ou elle sera acquise par la famille BEAUFORT lors de l’installation de la papauté en AVIGNON.
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CORNILLON. Avant la Révolution de 1793, le village de Cornillon faisait partie du Diocèse d'Uzès. Prieuré-Cure du titre de Saint-Pierre, et se révélait être le chef-lieu d'un doyenné comprenant seize paroisses. L'Eglise était située dans le bas du vieux village, près du cimetière (un pan de muraille, surmonté d'une croix, en atteste).
Au milieu du XVIème siècle, les guerres de religion n'épargnèrent pas Cornillon, mais la destruction de l'Eglise ne fut pas due uniquement aux conséquences de celles-ci, car on possède une délibération de la communauté qui décidait, le 11 mai 1550 de contraindre le prieur Jacq de Bozène à réparer ce monument qui « s'en va ruyné et démoli, y pleuvant de partout. » On substitua à l'Eglise en ruines, la chapelle du château dont le mur externe est formé par les remparts.
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CORNILLON. C’est l’Abbé MAZELLIER originaire de Bagnols qui administra Cornillon de 1847 à 1870. Son esprit libéral et indépendant lui fit attribuer des opinions un peu démocratiques et lui occasionna quelques ennuis paroissiaux et administratifs. C’est grâce à lui et à son insistance que la flèche et le clocher de l’église sont bâtis en pierre.