Restes de minerai. Au fond, un squat (photos prises en 2010).
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Aux débuts de l’occupation à Marseille, le propriétaire de l’usine aurait vendu à l’organisation Todt (groupe de génie civil et militaire de l’Allemagne), l’ensemble des charpentes en acier soutenues par les piliers. Par la suite, il aurait continué à faire quelques affaires, en lien avec les intérêts de l’occupant. Ceci lui a valu d’être inculpé de collaboration à la Libération et d’être ainsi condamné à payer une amende assez conséquente que ses héritiers honoreront quelques temps après sa mort, en vendant l’ensemble du domaine.
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Blocs de béton servant de socles pour des antennes. Ils ont été fabriqués par les allemands.
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Le dessus des fours.
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Le dessus des fours.
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Au premier plan, partie bétonnée des allemands. A gauche, les anciennes habitations des ouvriers, la plupart italiens. Dans le coin, à droite, se trouvait la maison du directeur. Au bord de la mer des blockhaus allemands dont un est habité. Tout au bout, à droite du port, une esplanade circulaire qui est la plateforme de tir pour une des casemates, avec son chemin d'acheminement.