Fontvieille et Les Baux

Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br> L’église paroissiale de la Tour se trouvant rapidement trop exiguë, les moines de Montmajour donnèrent le terrain pour construire cette église, provisoirement terminée en 1695 mais largement remaniée ensuite, notamment par la façade de 1765 et la tour de l’horloge de 1866. La période révolutionnaire, violemment anticléricale, vit l’église désaffectée, les cloches fondues (pour faire des canons), l’abbé Galissard poursuivi et guillotiné en 1793. Cette contestation resta vive pendant tout le XIXe, surtout menée par les carriers : RF, symbole républicain, fut apposé sur sa façade et la Marianne érigée sur la place.
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
L’église paroissiale de la Tour se trouvant rapidement trop exiguë, les moines de Montmajour donnèrent le terrain pour construire cette église, provisoirement terminée en 1695 mais largement remaniée ensuite, notamment par la façade de 1765 et la tour de l’horloge de 1866. La période révolutionnaire, violemment anticléricale, vit l’église désaffectée, les cloches fondues (pour faire des canons), l’abbé Galissard poursuivi et guillotiné en 1793. Cette contestation resta vive pendant tout le XIXe, surtout menée par les carriers : RF, symbole républicain, fut apposé sur sa façade et la Marianne érigée sur la place.
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Fontvieille. La Marianne. <br> Au cours de la séance du Conseil Municipal du 1er juin 1889 présidée par Raymond MARION, maire de Fontvieille, celui-ci expose au Conseil Municipal qu'à l'instar d'un grand nombre de communes, il y aurait lieu selon lui, à l'occasion de la célébration de la fête nationale du quatorze juillet, à ériger un monument commémoratif du centenaire de 1789.
Le Conseil Municipal à l'unanimité, se ralliant à la proposition de Monsieur le Président, décide d'ériger le monument de la Marianne sur la place publique en face de l'église.
Fontvieille. La Marianne.
Au cours de la séance du Conseil Municipal du 1er juin 1889 présidée par Raymond MARION, maire de Fontvieille, celui-ci expose au Conseil Municipal qu'à l'instar d'un grand nombre de communes, il y aurait lieu selon lui, à l'occasion de la célébration de la fête nationale du quatorze juillet, à ériger un monument commémoratif du centenaire de 1789. Le Conseil Municipal à l'unanimité, se ralliant à la proposition de Monsieur le Président, décide d'ériger le monument de la Marianne sur la place publique en face de l'église.
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br>
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br>
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br>
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br>
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens <br>
Fontvieille. L’Eglise Saint Pierre ès-Liens
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Fontvieille <br> La grand rue creusée dans la pierre.
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La grand rue creusée dans la pierre.
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Fontvieille <br> La grand rue creusée dans la pierre.
Fontvieille
La grand rue creusée dans la pierre.
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Fontvieille <br> La grand rue creusée dans la pierre. Le Planet.
Fontvieille
La grand rue creusée dans la pierre. Le Planet.
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Fontvieille <br> La grand rue creusée dans la pierre. Le Planet.
Fontvieille
La grand rue creusée dans la pierre. Le Planet.
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Fontvieille <br> La Corniche  des Blocs.
Notez ce panorama. On comprend bien la présence des carriers a donné, à Fontvieille sa configuration si particulière : la grand rue aujourd’hui cœur du village, fut creusée dans la pierre, du XVe au XVIIIe siècle. La Corniche en constitue la limite nord.
Fontvieille
La Corniche des Blocs. Notez ce panorama. On comprend bien la présence des carriers a donné, à Fontvieille sa configuration si particulière : la grand rue aujourd’hui cœur du village, fut creusée dans la pierre, du XVe au XVIIIe siècle. La Corniche en constitue la limite nord.
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Fontvieille <br> L’hôtel Marion, visible au bout de la ruelle, en face, servait d’auberge, de relais de poste et surtout d’arrêt de diligence. Les écuries étaient ici, ainsi que le terre-plein de l’hôtel où des courses de taureau camarguaises se déroulaient pendant les fêtes. Or, un incendie détruisit écuries et véhicule, mettant fin à toute activité en 1911.
Daudet empruntait l’omnibus de Tarascon dit «de l’Oule» pour se rendre à la gare ou aller chez son ami Mistral. Il l’immortalisa dans la Diligence de Beaucaire.
Fontvieille
L’hôtel Marion, visible au bout de la ruelle, en face, servait d’auberge, de relais de poste et surtout d’arrêt de diligence. Les écuries étaient ici, ainsi que le terre-plein de l’hôtel où des courses de taureau camarguaises se déroulaient pendant les fêtes. Or, un incendie détruisit écuries et véhicule, mettant fin à toute activité en 1911. Daudet empruntait l’omnibus de Tarascon dit «de l’Oule» pour se rendre à la gare ou aller chez son ami Mistral. Il l’immortalisa dans la Diligence de Beaucaire.
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Fontvieille. La Tour des Abbés. <br> Après avoir pendant trois siècles, rassemblé le terroir originel de Fontvieille, les abbés de Montmajour eurent à cœur de le défendre contre les Seigneurs des Baux lorsque ceux-ci, se révoltant contre la reine Jeanne et la maison d’Anjou, lâchèrent sur la région, en pleine peste noire, ces «Brigands des Baux», à savoir un ramassis de chevaliers rebelles, de paysans en rupture de ban, et de mercenaires en mal de pillage.
Fontvieille. La Tour des Abbés.
Après avoir pendant trois siècles, rassemblé le terroir originel de Fontvieille, les abbés de Montmajour eurent à cœur de le défendre contre les Seigneurs des Baux lorsque ceux-ci, se révoltant contre la reine Jeanne et la maison d’Anjou, lâchèrent sur la région, en pleine peste noire, ces «Brigands des Baux», à savoir un ramassis de chevaliers rebelles, de paysans en rupture de ban, et de mercenaires en mal de pillage.
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Fontvieille. La Tour des Abbés. <br> Comme d’autres fortifications contemporaines, la Tour combinait une structure rustique à des mâchicoulis. C’est pour sa construction qu’est ouverte la première carrière de pierre du village, alors que le site de Castelet, dévasté, est abandonné. Au XVe, un château est accolé à la tour : il va rapidement devenir la résidence du receveur général, administrant les revenus du monastère et exerçant la justice dans la «salle du conseil», significativement choisie, en 1790, pour la première réunion du conseil municipal.
Fontvieille. La Tour des Abbés.
Comme d’autres fortifications contemporaines, la Tour combinait une structure rustique à des mâchicoulis. C’est pour sa construction qu’est ouverte la première carrière de pierre du village, alors que le site de Castelet, dévasté, est abandonné. Au XVe, un château est accolé à la tour : il va rapidement devenir la résidence du receveur général, administrant les revenus du monastère et exerçant la justice dans la «salle du conseil», significativement choisie, en 1790, pour la première réunion du conseil municipal.
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Fontvieille. La Tour des Abbés. <br> Vendue comme bien national à la Révolution, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1927, elle est enfin rachetée en 1958 par le peintre Carl Liner qui la restaure et en fait un lieu d’exposition. Puis son épouse la légua à la ville en 2003, pour perpétuer ce double patrimoine architectural et artistique.
Fontvieille. La Tour des Abbés.
Vendue comme bien national à la Révolution, inscrite à l'inventaire des monuments historiques en 1927, elle est enfin rachetée en 1958 par le peintre Carl Liner qui la restaure et en fait un lieu d’exposition. Puis son épouse la légua à la ville en 2003, pour perpétuer ce double patrimoine architectural et artistique.
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Fontvieille. La Tour des Abbés. <br>
Fontvieille. La Tour des Abbés.
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Fontvieille <br>
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Fontvieille <br> La Vieille Font.
Source d’eau que l’on dit tiède en hiver, mais surtout remarquable par son important débit dans cette région sèche.:. Un signe de son importance : Fontvieille lui doit son nom ! (Ce nom est d’ailleurs cité dès 1150). Il n’est donc pas anodin que la Tour et le premier village se soient installés à proximité.
L’aménagement représenté par Lelée montre tout à côté ces «piles» (bacs de pierre) où le blé était lavé avant utilisation.
Fontvieille
La Vieille Font. Source d’eau que l’on dit tiède en hiver, mais surtout remarquable par son important débit dans cette région sèche.:. Un signe de son importance : Fontvieille lui doit son nom ! (Ce nom est d’ailleurs cité dès 1150). Il n’est donc pas anodin que la Tour et le premier village se soient installés à proximité. L’aménagement représenté par Lelée montre tout à côté ces «piles» (bacs de pierre) où le blé était lavé avant utilisation.
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Fontvieille <br> Le Lavoir.
Remarquable par sa taille, le lavoir de Fontvieille a toutefois posé des problèmes d’espace tout au long du XIXe siècle : il fallait accueillir une population croissante liée à l’essor des carrières. Plusieurs projets de reconstruction se succédèrent en vain. Il fut enfin agrandi en 1860, puis couvert d’une toiture à la fin du siècle, ainsi que d’un mur nord, vers 1920, protégeant les femmes du vent et de la pluie. Il est alimenté par la source qui sourd au fond en plusieurs points. Deux bassins successifs permettent enfin de laver (en aval) sans polluer l’eau de rinçage (en amont, à gauche).
Fontvieille
Le Lavoir. Remarquable par sa taille, le lavoir de Fontvieille a toutefois posé des problèmes d’espace tout au long du XIXe siècle : il fallait accueillir une population croissante liée à l’essor des carrières. Plusieurs projets de reconstruction se succédèrent en vain. Il fut enfin agrandi en 1860, puis couvert d’une toiture à la fin du siècle, ainsi que d’un mur nord, vers 1920, protégeant les femmes du vent et de la pluie. Il est alimenté par la source qui sourd au fond en plusieurs points. Deux bassins successifs permettent enfin de laver (en aval) sans polluer l’eau de rinçage (en amont, à gauche).
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Fontvieille <br> Le Lavoir.
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Le Lavoir.
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Fontvieille <br> Le carrefour de la poste.
Le centre: du village a été largement modifié depuis le XIXe siècle. En effet, les constructions étaient presque inexistantes au profit de prés et champs, mais aussi du premier cimetière, du XVIIe siècle, déplacé en 1852. La construction  des Halles en 1880, l’aménagernent du pont neuf de 1922 à 1924 puis le bureau de poste en 1931, en font le centre du village.
Fontvieille
Le carrefour de la poste. Le centre: du village a été largement modifié depuis le XIXe siècle. En effet, les constructions étaient presque inexistantes au profit de prés et champs, mais aussi du premier cimetière, du XVIIe siècle, déplacé en 1852. La construction des Halles en 1880, l’aménagernent du pont neuf de 1922 à 1924 puis le bureau de poste en 1931, en font le centre du village.
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Fontvieille <br> Le moulin Sourdon.
Ce moulin est souvent surnommé Moulin Tombé car il fut le premier à perdre son toit et ses ailes. Il est le plus à l'Ouest et demeure le doyen puisqu’un acte notarié en 1791 prouve qu’il était déjà en activité. Il sera restauré une première fois en 1958 avant de devenir un belvédère en 2015.
Fontvieille
Le moulin Sourdon. Ce moulin est souvent surnommé Moulin Tombé car il fut le premier à perdre son toit et ses ailes. Il est le plus à l'Ouest et demeure le doyen puisqu’un acte notarié en 1791 prouve qu’il était déjà en activité. Il sera restauré une première fois en 1958 avant de devenir un belvédère en 2015.
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Fontvieille <br> L'abbaye de Montmajour.
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L'abbaye de Montmajour.
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Fontvieille <br> La Moulin le Daudet vu du moulin Sourdon.
Fontvieille
La Moulin le Daudet vu du moulin Sourdon.
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Fontvieille <br> La Moulin de Daudet. Ce moulin appartenait au meunier Ribes. Dernier moulin en activité, il fonctionna environ un siècle pour arrêter de tourner en 1915. Il devient le «Moulin de Daudet» en 1935 sur l’initiative des Amis du Moulin, parmi lesquels Léo Lelée qui réalisa de nombreux dessins du cet endroit, dont celui du mécanisme, encore visible aujourd’hui.
Fontvieille
La Moulin de Daudet. Ce moulin appartenait au meunier Ribes. Dernier moulin en activité, il fonctionna environ un siècle pour arrêter de tourner en 1915. Il devient le «Moulin de Daudet» en 1935 sur l’initiative des Amis du Moulin, parmi lesquels Léo Lelée qui réalisa de nombreux dessins du cet endroit, dont celui du mécanisme, encore visible aujourd’hui.
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Fontvieille <br> La Moulin de Daudet. Il date du début du XIXe siècle et a appartenu à la famille Bellon depuis 1923. Daudet s’en inspira très largement dans les descriptions des Lettres de mon Moulin.
L’auteur prétend même l’avoir acquis dans un acte de vente imaginaire, et c'est ici qu’il situe notamment le Secret de maître Cornille.
Fontvieille
La Moulin de Daudet. Il date du début du XIXe siècle et a appartenu à la famille Bellon depuis 1923. Daudet s’en inspira très largement dans les descriptions des Lettres de mon Moulin. L’auteur prétend même l’avoir acquis dans un acte de vente imaginaire, et c'est ici qu’il situe notamment le Secret de maître Cornille.
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Fontvieille <br> La Moulin de Daudet.
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La Moulin de Daudet.
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Fontvieille <br> Le moulin Ramet.
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Le moulin Ramet.
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Fontvieille <br> Le moulin Ramet.
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Le moulin Ramet.
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Fontvieille <br> Le Moulin Tissot-Avon
Tout proche de Montauban, c’est le moulin que Daudet connaît le mieux. Il a même réellement projeté de l’acheter «ce serait le cas, décidément d’acheter le moulin du père Tissot ; je lui en parlerai quand j’irai là-bas. L’honneur m’oblige à avoir un moulin. » Pourtant ce n’est pas celui-ci que l’auteur se plait à décrire dans ses livres.
Le dernier meunier Trophime Avon s’arrêta en 1905.
Fontvieille
Le Moulin Tissot-Avon Tout proche de Montauban, c’est le moulin que Daudet connaît le mieux. Il a même réellement projeté de l’acheter «ce serait le cas, décidément d’acheter le moulin du père Tissot ; je lui en parlerai quand j’irai là-bas. L’honneur m’oblige à avoir un moulin. » Pourtant ce n’est pas celui-ci que l’auteur se plait à décrire dans ses livres. Le dernier meunier Trophime Avon s’arrêta en 1905.
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Fontvieille <br> Le moulin Tissot - Avon est le plus près du château de Montauban. Cette proximité lui valait de Fréquentes visites d’Alphonse Daudet qui s’arrêtait à ce moulin bien plus souvent qu’aux autres. Il a même projeté de l’acheter : « ce serait le cas, décidément d’acheter le moulin du père Tissot ; je lui en parlerai quand j’irai là-bas. L’honneur m’oblige à avoir un moulin » (correspondance privée). Ce moulin a cessé de tourner vers 1905, Trophime Avon en a été le dernie
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Le moulin Tissot - Avon est le plus près du château de Montauban. Cette proximité lui valait de Fréquentes visites d’Alphonse Daudet qui s’arrêtait à ce moulin bien plus souvent qu’aux autres. Il a même projeté de l’acheter : « ce serait le cas, décidément d’acheter le moulin du père Tissot ; je lui en parlerai quand j’irai là-bas. L’honneur m’oblige à avoir un moulin » (correspondance privée). Ce moulin a cessé de tourner vers 1905, Trophime Avon en a été le dernie
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Fontvieille <br> Le moulin Tissot - Avon.
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Le moulin Tissot - Avon.
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L'aqueduc de Barbegal.
L'aqueduc de Barbegal.
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L'aqueduc de Barbegal.
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L'aqueduc de Barbegal. Ruines des moulins.
L'aqueduc de Barbegal. Ruines des moulins.
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L'aqueduc de Barbegal. Ruines des moulins.
L'aqueduc de Barbegal. Ruines des moulins.
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Les Baux <br> Ancienne chapelle de la confrérie des Pénitents Blancs. XVIIe s. Décorée en 1974 par le peintre Yves BRAYER, sur le thème des Bergers de Provence. Les -sujets, liés à l’Annonce aux bergers et à la Nativité » sont placés dans le paysage des Alpilles et du Val d'Enfer.
Les Baux
Ancienne chapelle de la confrérie des Pénitents Blancs. XVIIe s. Décorée en 1974 par le peintre Yves BRAYER, sur le thème des Bergers de Provence. Les -sujets, liés à l’Annonce aux bergers et à la Nativité » sont placés dans le paysage des Alpilles et du Val d'Enfer.
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Chapelle des Trémaïé. Les Trémaïé (provençal Tremaïe, /trama:je) sont un bas-relief rupestre daté de l'époque gallo- romaine situé dans la commune des Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône). Il est associé, depuis le XVIIe siècle ou moins au culte rendu aux saintes Mânes qui, selon la tradition, auraient accosté sur une barque an Provence au Ier siècle. Comme le rocher se trouve dans une position instable, menaçant de continuer à rouler une chapelle lui est accolée depuis le XIXe siècle, 1845 précisément, afin de le stabiliser complètement De1830, début du culte catholique lié aux Trémaïé, jusqu'à 1910 environ, les habitants des Baux y effectuaient un pèlerinage tous tes 21 mai. Pour l'occasion, ils portaient une petite statue polychrome représentant la barque sur laquelle les Trois Maries débarquèrent en Provence. Participer à ce pèlerinage était moins onéreux pour les habitants des Apilles que d'effectuer le pèlerinage des Saintes Maries-de-la-Mer, en Camargue
Le monument a reçu, au XVIIe siècle au plus tard, le nom provençal de Trémaïé (« Trois Maries »). Les habitants des Baux voyaient dans ce bas-relief trois femmes, qu'ils associaient aux compagnes du Christ, connues sous le nom de saintes Maries: Marie-Madeleine, Maie Salomé, mère cites apôtres Jean et Jacques et Marie Jacobée. Cette identification est erronée, ne serait-ce que par le fait que les trois personnes sculptées sont en fait un homme (à gauche) et deux femmes.
Chapelle des Trémaïé. Les Trémaïé (provençal Tremaïe, /trama:je) sont un bas-relief rupestre daté de l'époque gallo- romaine situé dans la commune des Baux-de-Provence (Bouches-du-Rhône). Il est associé, depuis le XVIIe siècle ou moins au culte rendu aux saintes Mânes qui, selon la tradition, auraient accosté sur une barque an Provence au Ier siècle. Comme le rocher se trouve dans une position instable, menaçant de continuer à rouler une chapelle lui est accolée depuis le XIXe siècle, 1845 précisément, afin de le stabiliser complètement De1830, début du culte catholique lié aux Trémaïé, jusqu'à 1910 environ, les habitants des Baux y effectuaient un pèlerinage tous tes 21 mai. Pour l'occasion, ils portaient une petite statue polychrome représentant la barque sur laquelle les Trois Maries débarquèrent en Provence. Participer à ce pèlerinage était moins onéreux pour les habitants des Apilles que d'effectuer le pèlerinage des Saintes Maries-de-la-Mer, en Camargue Le monument a reçu, au XVIIe siècle au plus tard, le nom provençal de Trémaïé (« Trois Maries »). Les habitants des Baux voyaient dans ce bas-relief trois femmes, qu'ils associaient aux compagnes du Christ, connues sous le nom de saintes Maries: Marie-Madeleine, Maie Salomé, mère cites apôtres Jean et Jacques et Marie Jacobée. Cette identification est erronée, ne serait-ce que par le fait que les trois personnes sculptées sont en fait un homme (à gauche) et deux femmes.
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Les Trémaïé sont sculptées sur un rocher situé au sud-est du plateau des Baux-de-Provence, en contrebas du château des Baux. Selon le préfet des Bouches-du-Rhône, Christophe de Villeneuve-Bargemon, ce rocher se serait écroulé depuis le plateau. Il mesure 7,60 mètres sur 4,50 mètres. Le bas-relief est sculpté dans une niche de 2 mètres sur 1,35 mètre, elle aussi sculptée et ornée d'acrotères. La tradition de voir dans ce bas-relief les visages des saintes Maries remontent à la croyance provençale séculaire selon laquelle ces trois femmes montées dans une barque à Joppé, en Palestine, accostèrent sur le plateau du château des Baux - selon la légende, en effet, la mer bordait la chaîne des Alpilles en ce temps-là.
Les Trémaïé sont sculptées sur un rocher situé au sud-est du plateau des Baux-de-Provence, en contrebas du château des Baux. Selon le préfet des Bouches-du-Rhône, Christophe de Villeneuve-Bargemon, ce rocher se serait écroulé depuis le plateau. Il mesure 7,60 mètres sur 4,50 mètres. Le bas-relief est sculpté dans une niche de 2 mètres sur 1,35 mètre, elle aussi sculptée et ornée d'acrotères. La tradition de voir dans ce bas-relief les visages des saintes Maries remontent à la croyance provençale séculaire selon laquelle ces trois femmes montées dans une barque à Joppé, en Palestine, accostèrent sur le plateau du château des Baux - selon la légende, en effet, la mer bordait la chaîne des Alpilles en ce temps-là.
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