Regard vesr la pointe de Tacchione, avec, au fond, la Pointe de sant'Eliseo.
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Premier jour : Tartavelo.
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Premier jour : Tartavelo.
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Premier jour : Tartavelo.
Cyclamen.
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Premier jour : Tartavelo.
Cyclamen.
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Premier jour : Tartavelo.
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Premier jour : Tartavelo.
Au pied de la Pointe de Tacchione.
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Premier jour : Tartavelo.
Au pied de la Pointe de Tacchione.
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Premier jour : Tartavelo.
Au pied de la Pointe de Tacchione.
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Premier jour : Tartavelo.
Au pied de la Pointe de Tacchione.
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Premier jour : Tartavelo.
Au pied de la Pointe de Tacchione.
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Premier jour : Tartavelo.
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Premier jour : Tartavelo.
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Deuxième jour : Bastelica.
Fontaine et lavoir de Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
Lavoir de Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le long du canal de la Volta.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula. La passerelle.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula. La passerelle.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula. Vue de la passerelle.
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Deuxième jour : Bastelica.
La cascade d'Ortula. Vue de la passerelle.
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Deuxième jour : Bastelica.
C'est là où nos chemins se séparent.
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Deuxième jour : Bastelica.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le Voile de la Mariée. Entre les versants de Tavera Vechja et du Scumunicatu, le ruisseau de Trottu s’envole du haut de la paroi rocheuse et vient se briser en contrebas dans un rugissement saisissant. Sans aucun doute s’agit-il là des derniers échos des hurlements de l’Orcu di u Canapali (l’ogre de Canapali), le gardien des lieux.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le Voile de la Mariée. Furieux d’avoir surpris une noble demoiselle baigner un poignet mutilé dans les eaux miraculeuses de la « Fontana Santa », il tenta de l’attraper. S’empêtrant dans le voile de mousseline abandonnée dans sa fuite par la jeune femme, il chuta et fut emporté par les eaux de la montagne. Ainsi fut baptisée la cascade du Voile de la Mariée.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le Voile de la Mariée. Plusieurs siècles passèrent avant que les habitants du hameau de Tavera Vechja découvrent une statue menhir dans le ruisseau en contrebas (en bas, à droite). On dit qu’il s’agit de l’Orcu, pétrifié après sa mort.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le Voile de la Mariée.
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Deuxième jour : Bastelica.
Le Voile de la Mariée.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Le fleuve Gravona, long d’une quarantaine de kilomètres, prend sa source sur le flanc du Monte Rinosu à 2.110 m d’altitude, poursuit sa course en traversant une partie de la forêt de Vizzavona puis rejoint le fleuve Prunelll dans la plaine de Campu di l’Oru avant de se jeter dans la mer Méditerranée à moins d’un kilomètre d’Ajaccio. Leurs embouchures sont communes depuis un peu moins de 200 ans consécutivement à des travaux d’assainissement réalisés au XIXe siècle.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Le fleuve Gravona.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Les Gorges de la Richjusa constituent un canyon en tous points remarquables. Le torrent descend du Migliareddu (2290 mètres) et du névé de a Tanedda, avant de se jeter dans la Gravona.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Le névé de a Tanedda a généré au cours du XIXe siècle, un important commerce de glace dont les anciens se souviennent encore. Les spécialistes se rendaient en juillet et en août en pleine montagne (a Tanedda, a Capiaghja, u Broncu), pour y découper les névés. La glace était alors mise en sacs et transportée à dos d’ânes vers la gare de Bocognano, d’où elle partait vers Ajaccio et Bastia. Le commerce de la glace a disparu en 1925.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Lis Mathiole ou maritime.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Lis Mathiole ou maritime.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Punta Milliarello.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Digitale pourpre.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Bergeries de Matone.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Orchis pauciflore.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. Au premier plan, le four.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. Le four.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. Le four.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. Canal d'amenée de l'eau.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. Le moulin.
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Troisième jour : gorges de la Ricchiusa.
Moulin de l'Ursu. En haut, à gauche, on voit la trémie d'où arrivait l'eau qui, en tombant sur les pales, faisait tourner la roue. Cette dernière entrainait les meules qui se trouvaient dans le bâtiment.
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Quatrième jour : Tavera.
Orchis de Provence, dans le jardin de l'hôtel.
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Quatrième jour : Tavera.
Salamandre
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Quatrième jour : Tavera.
Salamandre
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Quatrième jour : Tavera.
Salamandre
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Quatrième jour : Tavera.
Salamandre
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Quatrième jour : Tavera.
Salamandre transformée en porc par la fée Morgane (le plus dur, ça a été de faire disparaitre les tâches jaunes).
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
A côté, la forêt de Brocéliande, c'est la campagne Pastré.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
Passage sous la voie ferrée.
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Quatrième jour : Tavera.
Pont du chemin de fer Granatu.
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Quatrième jour : Tavera.
Pont du chemin de fer Granatu.
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Quatrième jour : Tavera.
Pont du chemin de fer Granatu.
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Quatrième jour : Tavera.
Pont du chemin de fer Granatu.
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Quatrième jour : Tavera.
Le Voile de la Mariée
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Quatrième jour : Tavera.
A Casalta, a été bâtie par la famille Tavera en 1622. Jouissant d’un prestige important les Tavera sont des gentilshommes très estimés dans la pieve de Celavu. Parlant au nom de la communauté ils servent d’intermédiaires dans les relations avec les autres communautés et le pouvoir central. A la fin du XVIe siècle, la Sérénissime République de Gênes les reconnaît «benemeriti». Ils sont exemptés d’impôts et ont le droit de port d’épée. Egalement reconnus par l’Office de San Giorgiu, les Tavera ne seront toutefois pas anoblis par la monarchie française. Ils demeurent malgré tout des notables et à la fin du XVIIIe siècle, occupent les fonctions les plus importantes au sein de la communauté villageoise. On remarquera le bel appareillage, les imposantes pierres taillées qui constituent les chaînages d’angle ainsi que le pavement du seuil de la bâtisse.
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Quatrième jour : Tavera.
En dépit de reconstructions successives, la maison Tavera, a Casa di i signori (la maison des seigneurs), témoigne encore d’une architecture liée à condition sociale. Les deux entrées basses possèdent des linteaux gravés : l’un représente une tour soutenue par deux chiens (symbole de fidélité, ces mêmes animaux figuraient également sur les armoiries de la cité d’Ajaccio),
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Quatrième jour : Tavera.
l’autre l’inscription IHS (Jésus Hominum Salvator) et la date de construction.
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Quatrième jour : Tavera.
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Quatrième jour : Tavera.
Au nombre d'une centaine, les statues- menhirs sont inégalement réparties dans presque toutes les microrégions de la Corse, à l'exception de la haute montagne. La statue-menhir de Tavera a été découverte lors d’une prospection menée dans la vallée de la Gravona en 1961. Celle-ci gisait à quelques mètres de l’endroit où elle est actuellement visible, à proximité d’un Casteddu médiéval. D’une hauteur de 2,42 m, l’homme de pierre est l’une des statues- menhirs les mieux soignées et proportionnées de l’île.
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Quatrième jour : Tavera.
Statue menhir de Tavera. Les traits de son visage sont très expressifs et ses oreilles saillantes se détachent clairement de la tête. La ligne claviculaire est représentée par un arc de cercle à la base du cou. La statue-menhir ne possède pas d’arme mais elle a donné l’occasion de restituer ce qui est interprété comme un attribut vestimentaire. En effet, sur toute la partie céphalique, des gravures aujourd’hui disparues dessinaient la forme d’une résille.
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Quatrième jour : Tavera.
Statue menhir de Tavera. La destination des statues-menhirs est un véritable problème sur lequel les chercheurs se penchent actuellement. Celle de Tavera se situait au passage d’un col, dominant le cours de la Gravona. La proximité de l’axe de communication entre la plaine et la montagne permet de penser que la statue- menhir de Tavera a été dressée sur ce lieu en raison de son importance stratégique. On pourrait ainsi l’identifier à une herma, terme grec désignant autrefois la borne qui jalonnait les routes et les frontières, et également la rapprocher du culte antique d’Hermès, Dieu des voyageurs et du bornage.
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Quatrième jour : Tavera.
Statue menhir de Tavera. On distingue le schéma des omoplates en relief et la colonne vertébrale en creux dans le dos. Certaines pierres ont toujours exercé un véritable pouvoir sur les hommes. Pour l’Eglise, les menhirs et statues-menhirs faisaient l’objet de cultes païens. Les nombreuses décisions prises dans le but de faire disparaître ces croyances restèrent vaines et le peuple continua à avoir pour celles-ci une véritable vénération. Elle tenta donc de les christianiser en traçant des croix sur les monolithes, en les déplaçant près des églises ou même en les intégrant dans leur construction. Celle de Tavera n’en fit pas l’objet, mais selon les bergers parcourant le secteur, elle aurait la faculté de faire pousser l’herbe et de donner ainsi de beaux pâturages.
