Mémoire à la Mer.

Cette exposition, au Musée d'Histoire de Marseille, est une plongée au coeur de l'archéologie sous-marine.

Scaphandre atmosphérique.<br> Fer, cuivre, caoutchouc 1885-1910 Marseille. Collection musée du Vieux-Marseille. Ce scaphandre articulé qui a été réalisé au plus tard en 1910 est l'un des premiers prototypes de scaphandre rigide ou atmosphérique qui ait été inventé. Destiné à permettre à un plongeur de descendre à de grandes profondeurs sans être soumis aux très fortes contraintes de la pression sous-marine, on peut cependant avoir des doutes sur la viabilité de ce prototype.
Scaphandre atmosphérique.
Fer, cuivre, caoutchouc 1885-1910 Marseille. Collection musée du Vieux-Marseille. Ce scaphandre articulé qui a été réalisé au plus tard en 1910 est l'un des premiers prototypes de scaphandre rigide ou atmosphérique qui ait été inventé. Destiné à permettre à un plongeur de descendre à de grandes profondeurs sans être soumis aux très fortes contraintes de la pression sous-marine, on peut cependant avoir des doutes sur la viabilité de ce prototype.
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Les opérations de restauration, de conservation et d'installation de l'ancre du Grand Saint-Antoine ont été réalisées grâce au mécénat de la Caisse d'Epargne CEPAC en 2012 et en 2014.
Les opérations de restauration, de conservation et d'installation de l'ancre du Grand Saint-Antoine ont été réalisées grâce au mécénat de la Caisse d'Epargne CEPAC en 2012 et en 2014.
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Scaphandre Rouquayrol-Denayrouze. <br> Inventé en 1864, l'appareil-plongeur Rouquayrol-Denayrouze est l'ancêtre du scaphandre Cousteau- Gagnan. Il est constitué d'un réservoir d'air comprimé et d'un détendeur qui alimente le plongeur par un embout buccal. Un réservoir haute-pression permettait son utilisation en autonomie. Un « masque groin », des lests et une combinaison étanche complétaient l'équipement.
Scaphandre Rouquayrol-Denayrouze.
Inventé en 1864, l'appareil-plongeur Rouquayrol-Denayrouze est l'ancêtre du scaphandre Cousteau- Gagnan. Il est constitué d'un réservoir d'air comprimé et d'un détendeur qui alimente le plongeur par un embout buccal. Un réservoir haute-pression permettait son utilisation en autonomie. Un « masque groin », des lests et une combinaison étanche complétaient l'équipement.
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Scaphandre Rouquayrol-Denayrouze. <br> De 1870 à 1873, Hippolyte Magen et sa Société de sauvetage des Galions de Vigo entreprirent avec ce scaphandre la récupération d'épaves en baie de Vigo (Galice, 1702). L'ingénieur Ernest Bazin conçut à cet effet une puissante lampe électrique sous-marine pour travailler de nuit et mobilisa une tourelle d'observation et un « extracteur de vases et de sable » pour fouiller les épaves. Cette opération marque, d'une certaine façon, les prémices de l'archéologie sous-marine française.
Scaphandre Rouquayrol-Denayrouze.
De 1870 à 1873, Hippolyte Magen et sa Société de sauvetage des Galions de Vigo entreprirent avec ce scaphandre la récupération d'épaves en baie de Vigo (Galice, 1702). L'ingénieur Ernest Bazin conçut à cet effet une puissante lampe électrique sous-marine pour travailler de nuit et mobilisa une tourelle d'observation et un « extracteur de vases et de sable » pour fouiller les épaves. Cette opération marque, d'une certaine façon, les prémices de l'archéologie sous-marine française.
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10. Astrolabe en bronze. Épave de Pen Azen, (Côtes-d’Armor, XVIe s.). Prof : -10 à -15 m.) Inventeur Patrice Cahagne, 1997. Alidade restituée en résine. Musée d'Art et d’Histoire, Saint-Brieuc. 11. Octant en ébène. Épave Waldam 3 (Pas-de-Calais, XVIIIe s.). Sur la plage. Inventeur Michel Maquerre, 2014. Drassm, les Milles (20192) Cet instrument de navigation a été trouvé sur une épave brusquement surgie du sable sur une plage.
10. Astrolabe en bronze. Épave de Pen Azen, (Côtes-d’Armor, XVIe s.). Prof : -10 à -15 m.) Inventeur Patrice Cahagne, 1997. Alidade restituée en résine. Musée d'Art et d’Histoire, Saint-Brieuc. 11. Octant en ébène. Épave Waldam 3 (Pas-de-Calais, XVIIIe s.). Sur la plage. Inventeur Michel Maquerre, 2014. Drassm, les Milles (20192) Cet instrument de navigation a été trouvé sur une épave brusquement surgie du sable sur une plage.
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11. Octant en ébène. Épave Waldam 3 (Pas-de-Calais, XVIIIe s.). Sur la plage. Inventeur Michel Maquerre, 2014. Drassm, les Milles (20192) Cet instrument de navigation a été trouvé sur une épave brusquement surgie du sable sur une plage.
11. Octant en ébène. Épave Waldam 3 (Pas-de-Calais, XVIIIe s.). Sur la plage. Inventeur Michel Maquerre, 2014. Drassm, les Milles (20192) Cet instrument de navigation a été trouvé sur une épave brusquement surgie du sable sur une plage.
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10. Astrolabe en bronze. Épave de Pen Azen, (Côtes-d’Armor, XVIe s.). Prof : -10 à -15 m.) Inventeur Patrice Cahagne, 1997. Alidade restituée en résine. Musée d'Art et d’Histoire, Saint-Brieuc.
10. Astrolabe en bronze. Épave de Pen Azen, (Côtes-d’Armor, XVIe s.). Prof : -10 à -15 m.) Inventeur Patrice Cahagne, 1997. Alidade restituée en résine. Musée d'Art et d’Histoire, Saint-Brieuc.
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5. Pigments colorants bleus égyptiens, orange réalgar et litharge. Épave Planier 3 (Bouches-du-Rhône, Ier siècle avant J.-C.). Prof. -22 / – -27 m. Fouille André Tchernia. Drassm, les Milles. 6. Coupe en majolique de Montelupo (1516). Épave de la Lomellina (Villefranche-sur-Mer, Alpes-Maritimes, 1516) prof. -18 m. Fouille de Max Guérout (GRAN), Éric Rieth (CNRS) et J – M Gassend (CNRS), 1982 – 1990. Il s’agit de la première fouille sous-marine méthodique et exhaustive d’un site de l’époque moderne. 7. Coupes attiques empilées dans une jarre grecque. Épave pointe Lequin 1 A (Var. VIe s. av. J.-C.). Prof. - 8 m. Fouille Luc Long (Drassm), 1986-1990 La fouille attentive a permis de montrer comment les coupes étaient, il y a 2500ans, transportées dans des jarres.
5. Pigments colorants bleus égyptiens, orange réalgar et litharge. Épave Planier 3 (Bouches-du-Rhône, Ier siècle avant J.-C.). Prof. -22 / – -27 m. Fouille André Tchernia. Drassm, les Milles. 6. Coupe en majolique de Montelupo (1516). Épave de la Lomellina (Villefranche-sur-Mer, Alpes-Maritimes, 1516) prof. -18 m. Fouille de Max Guérout (GRAN), Éric Rieth (CNRS) et J – M Gassend (CNRS), 1982 – 1990. Il s’agit de la première fouille sous-marine méthodique et exhaustive d’un site de l’époque moderne. 7. Coupes attiques empilées dans une jarre grecque. Épave pointe Lequin 1 A (Var. VIe s. av. J.-C.). Prof. - 8 m. Fouille Luc Long (Drassm), 1986-1990 La fouille attentive a permis de montrer comment les coupes étaient, il y a 2500ans, transportées dans des jarres.
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6. Coupe en majolique de Montelupo (1516). Épave de la Lomellina (Villefranche-sur-Mer, Alpes-Maritimes, 1516) prof. -18 m. Fouille de Max Guérout (GRAN), Éric Rieth (CNRS) et J – M Gassend (CNRS), 1982 – 1990. Il s’agit de la première fouille sous-marine méthodique et exhaustive d’un site de l’époque moderne.
6. Coupe en majolique de Montelupo (1516). Épave de la Lomellina (Villefranche-sur-Mer, Alpes-Maritimes, 1516) prof. -18 m. Fouille de Max Guérout (GRAN), Éric Rieth (CNRS) et J – M Gassend (CNRS), 1982 – 1990. Il s’agit de la première fouille sous-marine méthodique et exhaustive d’un site de l’époque moderne.
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12. Porcelaine chinoise et perles de verre et de cornaline de l’épave Brunei 1. Epave de la jonque asiatique Brunei 1 (Brunei, fin XVe siècle). Prof. -65 m. Fouille Michel L'Hour (Drassm), 1997-1998 Musée de Brunei. La fouille a démontré que tes épaves de la mer de Chine n'étaient pas définitivement condamnées à subir le joug des exploitations commerciales.
12. Porcelaine chinoise et perles de verre et de cornaline de l’épave Brunei 1. Epave de la jonque asiatique Brunei 1 (Brunei, fin XVe siècle). Prof. -65 m. Fouille Michel L'Hour (Drassm), 1997-1998 Musée de Brunei. La fouille a démontré que tes épaves de la mer de Chine n'étaient pas définitivement condamnées à subir le joug des exploitations commerciales.
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14. Cloche fondue en 1598 par Willem Tonnissen. Épave du vaisseau de la compagnie des Indes orientales hollandaises (V.O.C.) Mauritius (Gabon, 1609). Prof. - 10 m. Fouille Michel L'Hour, Luc Long (Drassm), Éric Rieth (CNRS), 1986. Musée de la Marine de Port-Louis.
14. Cloche fondue en 1598 par Willem Tonnissen. Épave du vaisseau de la compagnie des Indes orientales hollandaises (V.O.C.) Mauritius (Gabon, 1609). Prof. - 10 m. Fouille Michel L'Hour, Luc Long (Drassm), Éric Rieth (CNRS), 1986. Musée de la Marine de Port-Louis.
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1. Amphore vinaire rhodienne timbrée sur les anses. Provenance inconnue (saisie judiciaire). IIe s. av. J.-C. Drassm, les Milles. 2. Amphore vinaire italique Dresse lIB estampillée. Épave Fourmigue C (Alpes-Maritimes). Ier s. av. J.-C. 3. Amphore à saumure de Bétique Pompéi 7 Épave Tour Sainte Marie 1 (Corse). Ier s. av. – Ier s. apr. J.-C.
1. Amphore vinaire rhodienne timbrée sur les anses. Provenance inconnue (saisie judiciaire). IIe s. av. J.-C. Drassm, les Milles. 2. Amphore vinaire italique Dresse lIB estampillée. Épave Fourmigue C (Alpes-Maritimes). Ier s. av. J.-C. 3. Amphore à saumure de Bétique Pompéi 7 Épave Tour Sainte Marie 1 (Corse). Ier s. av. – Ier s. apr. J.-C.
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4. Amphore à huile de Bétique. Dressel 20. Épave Tiboulen de Maïre 1, autour de 130 apr J.-C. Drassm. les Milles. 5. Amphore vinaire Gauloise 4. Découverte isolée, Ier – IIe s. apr. J.-C. Drassm. les Milles. 6. Amphore africaine Keay 25/2 ou grand spatheion. Épave Dramont E (Var), Ve s. apr. J.-C Drassm. les Milles.
4. Amphore à huile de Bétique. Dressel 20. Épave Tiboulen de Maïre 1, autour de 130 apr J.-C. Drassm. les Milles. 5. Amphore vinaire Gauloise 4. Découverte isolée, Ier – IIe s. apr. J.-C. Drassm. les Milles. 6. Amphore africaine Keay 25/2 ou grand spatheion. Épave Dramont E (Var), Ve s. apr. J.-C Drassm. les Milles.
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Le verre dans tous ses états.<br> Au fil des décennies les épaves ont révélé tous les indices d'un commerce maritime permanent des produits du verre, blocs de matière brute, bouteilles et fragiles flacons, disques de verre à vitres et verre à recycler.
Le verre dans tous ses états.
Au fil des décennies les épaves ont révélé tous les indices d'un commerce maritime permanent des produits du verre, blocs de matière brute, bouteilles et fragiles flacons, disques de verre à vitres et verre à recycler.
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Les ustensiles du calfat à bord d'un navire de l'époque moderne.<br> 1. Grande brosse à goudronner (guipon). Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Musée de Saint Malo 2. Gratte de calfat en bois et fer. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 3. Chaudron de calfat en bronze. Épave de la Jeanne-Élisabeth (Hérault). 1755. Musée de l’éphèbe d’Agde. 4. Deux lunettes de calfat en alliage cuivreux. Épave de la Boussole (îles Salomon), 1788. Musée de l’histoire maritime de Nouvelle-Calédonie. 5. Feuille de plomb enroulée (plomb en table) et trois plaques de plomb étoupées Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. . 6. Heuse de pompe en orme. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 7. Chaudron de pompe en plomb Épave du Ça Ira (Corse), 1796 Musée national de la Marine (27963) 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 7. Chaudron de pompe en plomb Épave du Ça Ira (Corse), 1796. Musée national de la Marine. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 9. Seau. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 10. Plaque de cuir fort découpée. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. Musée de Saint Malo. 11. Pelote de bitord. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. 12. Brai ou résine végétale. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749.
Les ustensiles du calfat à bord d'un navire de l'époque moderne.
1. Grande brosse à goudronner (guipon). Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Musée de Saint Malo 2. Gratte de calfat en bois et fer. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 3. Chaudron de calfat en bronze. Épave de la Jeanne-Élisabeth (Hérault). 1755. Musée de l’éphèbe d’Agde. 4. Deux lunettes de calfat en alliage cuivreux. Épave de la Boussole (îles Salomon), 1788. Musée de l’histoire maritime de Nouvelle-Calédonie. 5. Feuille de plomb enroulée (plomb en table) et trois plaques de plomb étoupées Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. . 6. Heuse de pompe en orme. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 7. Chaudron de pompe en plomb Épave du Ça Ira (Corse), 1796 Musée national de la Marine (27963) 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 7. Chaudron de pompe en plomb Épave du Ça Ira (Corse), 1796. Musée national de la Marine. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 9. Seau. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 10. Plaque de cuir fort découpée. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. Musée de Saint Malo. 11. Pelote de bitord. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. 12. Brai ou résine végétale. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749.
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3. Chaudron de calfat en bronze. Épave de la Jeanne-Élisabeth (Hérault). 1755. Musée de l’éphèbe d’Agde. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Musée de Saint Malo. 7. Chaudron de pompe en plomb. Épave du Ça Ira (Corse), 1796. Musée national de la Marine. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 9. Seau. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 10. Plaque de cuir fort découpée. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. Musée de Saint Malo. 11. Pelote de bitord. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. 12. Brai ou résine végétale. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749.
3. Chaudron de calfat en bronze. Épave de la Jeanne-Élisabeth (Hérault). 1755. Musée de l’éphèbe d’Agde. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Musée de Saint Malo. 7. Chaudron de pompe en plomb. Épave du Ça Ira (Corse), 1796. Musée national de la Marine. 8. Outils de travail du bois : demi-varlope, herminette, gouge et maillet. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 9. Seau. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. 10. Plaque de cuir fort découpée. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. Musée de Saint Malo. 11. Pelote de bitord. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749. 12. Brai ou résine végétale. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et- Vilaine), 1749.
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Section de charpente axiale de l'épave de la Madrague de Giens.<br> Var, Ier s. av. J. –C. Prof. - 20 m Fouille Patrice Pomey et André Tchernia, CNRS-CCI, 1972-1982 Musée d'Hyères (29671) Cette section massive associa une quille et un double bordé à des varangues et demi-couples de renfort. Elle permet d'apprécier l’échantillonnage de ce grand navire de 40 m de longueur. La charpente était munie d'un double bordé de bois, recouvert à l'extérieur d’un revêtement de plomb destiné à la protéger de l'attaque des vers marins. Les virures de bordé sont assemblées au moyen de tenons et mortaises ménagés dans le can des bordages.
Section de charpente axiale de l'épave de la Madrague de Giens.
Var, Ier s. av. J. –C. Prof. - 20 m Fouille Patrice Pomey et André Tchernia, CNRS-CCI, 1972-1982 Musée d'Hyères (29671) Cette section massive associa une quille et un double bordé à des varangues et demi-couples de renfort. Elle permet d'apprécier l’échantillonnage de ce grand navire de 40 m de longueur. La charpente était munie d'un double bordé de bois, recouvert à l'extérieur d’un revêtement de plomb destiné à la protéger de l'attaque des vers marins. Les virures de bordé sont assemblées au moyen de tenons et mortaises ménagés dans le can des bordages.
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1. Tête de sanglier en bronze servant à décorer l'éperon supérieur d'un petit navire romain. Golfe de Fos (B.-du-Rhône, Ier s. av. J.-C.). Prof. -12 m. Inventeur: René Beaucaire, 1960. Musée d'Istres. Cette découverte isolée peut être rapprochée de l’épave Fos 1 datée par sa cargaison du Ier s. av. J.-C.
1. Tête de sanglier en bronze servant à décorer l'éperon supérieur d'un petit navire romain. Golfe de Fos (B.-du-Rhône, Ier s. av. J.-C.). Prof. -12 m. Inventeur: René Beaucaire, 1960. Musée d'Istres. Cette découverte isolée peut être rapprochée de l’épave Fos 1 datée par sa cargaison du Ier s. av. J.-C.
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2. Applique de bronze ayant recouvert I’étrave d'un navire. Ile - Rousse (Corse, Ier apr. J.-C.) Prospection Drassm et Marine nationale, 1972. Musée départemental de Sartène. (3092). Elle est ornée de motifs décoratifs et protecteurs en relief : une tête d'homme barbu à l'avant et un dauphin sur les faces latérales.
2. Applique de bronze ayant recouvert I’étrave d'un navire. Ile - Rousse (Corse, Ier apr. J.-C.) Prospection Drassm et Marine nationale, 1972. Musée départemental de Sartène. (3092). Elle est ornée de motifs décoratifs et protecteurs en relief : une tête d'homme barbu à l'avant et un dauphin sur les faces latérales.
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3. Fragment de tricorne d’une figure de proue. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et-Vilaine, 1749). Prof, - 9 à – 18 m. En permettant de restituer une statue en pied de 2,60 m de hauteur, cet objet a participé à l'Identification de l'épave.
3. Fragment de tricorne d’une figure de proue. Épave de L'Aimable Grenot (Ille-et-Vilaine, 1749). Prof, - 9 à – 18 m. En permettant de restituer une statue en pied de 2,60 m de hauteur, cet objet a participé à l'Identification de l'épave.
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La poudre et les épices. La découverte, à la fin du XVe siècle, de la route des Indes et des Amériques entraîne l'Europe dans une ère nouvelle : « l'époque moderne ». Le développement des échanges avec les Indes orientales et occidentales favorise l'expansion des ports d'Europe de l'Ouest. Portugais, Espagnols, Anglais, Hollandais, Français... naviguent désormais au-delà de l'horizon et réclament toujours plus de navires armés pour défendre sur mer leurs intérêts commerciaux. La généralisation de l'artillerie embarquée et la volonté de s'emparer des cargaisons ou des territoires ennemis conduisent à une multiplication des combats navals et, partant, à un grand nombre de naufrages qui viennent s'additionner à ceux qu'occasionnent déjà les aléas de la navigation. Ainsi, les chemins de mer qu'empruntent les produits d'échanges laissent sur les fonds marins, telle une ombre portée, une route des épaves.
La poudre et les épices. La découverte, à la fin du XVe siècle, de la route des Indes et des Amériques entraîne l'Europe dans une ère nouvelle : « l'époque moderne ». Le développement des échanges avec les Indes orientales et occidentales favorise l'expansion des ports d'Europe de l'Ouest. Portugais, Espagnols, Anglais, Hollandais, Français... naviguent désormais au-delà de l'horizon et réclament toujours plus de navires armés pour défendre sur mer leurs intérêts commerciaux. La généralisation de l'artillerie embarquée et la volonté de s'emparer des cargaisons ou des territoires ennemis conduisent à une multiplication des combats navals et, partant, à un grand nombre de naufrages qui viennent s'additionner à ceux qu'occasionnent déjà les aléas de la navigation. Ainsi, les chemins de mer qu'empruntent les produits d'échanges laissent sur les fonds marins, telle une ombre portée, une route des épaves.
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Pierrier à boîte aux armes de France : couronne fleurdelisée associée aux monogrammes de Louis XIII. <br> Épave Brescou 2 (Hérault XVIIe s.). Prof. - 4 m. Inventeur, Michel Souques. Fouilles de Marie-Pierre Jézégou (Drassm), 1996 – 1997. Musée de l’Ephèbe, Agde. Associé à 15 autres canons et à 29 mousquets, ce pierrier en bronze dont la queue de pointage et la fourche du chandelier sont en fer forgé, témoigne sans doute du délestage d’un navire en difficulté.
Pierrier à boîte aux armes de France : couronne fleurdelisée associée aux monogrammes de Louis XIII.
Épave Brescou 2 (Hérault XVIIe s.). Prof. - 4 m. Inventeur, Michel Souques. Fouilles de Marie-Pierre Jézégou (Drassm), 1996 – 1997. Musée de l’Ephèbe, Agde. Associé à 15 autres canons et à 29 mousquets, ce pierrier en bronze dont la queue de pointage et la fourche du chandelier sont en fer forgé, témoigne sans doute du délestage d’un navire en difficulté.
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Canon en bronze à anses delphinoïdes.<br> Basse des Esclaves (Pyrénées-Atlantiques, XVIe siècle). Prof. -28 m. Inventeur : Pierre Nicaudie, 1979. Musée de Biarritz. Ce canon de 2,50 m de long, fondu en 1584 par Tomas Both est orné du blason royal du Portugal souligné de l’inscription PHILIPP.LVS.REX. désignant le roi Philippe II de Lusitanie alors roi d’Espagne et du Portugal, est à mettre en relation avec le naufrage en 1607 de quatre galions de l’escadre de l’amiral D. Antonio Oquiendo.
Canon en bronze à anses delphinoïdes.
Basse des Esclaves (Pyrénées-Atlantiques, XVIe siècle). Prof. -28 m. Inventeur : Pierre Nicaudie, 1979. Musée de Biarritz. Ce canon de 2,50 m de long, fondu en 1584 par Tomas Both est orné du blason royal du Portugal souligné de l’inscription PHILIPP.LVS.REX. désignant le roi Philippe II de Lusitanie alors roi d’Espagne et du Portugal, est à mettre en relation avec le naufrage en 1607 de quatre galions de l’escadre de l’amiral D. Antonio Oquiendo.
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Canon en bronze à anses delphinoïdes.
Canon en bronze à anses delphinoïdes.
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1. Echelle ou calibre de canonnier en buis. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. . Prof. – 9 à – 18 m. Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo. Cet instrument anglais daté de 1640 a été perdu 56 ans plus tard sur une frégate corsaire française.
1. Echelle ou calibre de canonnier en buis. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. . Prof. – 9 à – 18 m. Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo. Cet instrument anglais daté de 1640 a été perdu 56 ans plus tard sur une frégate corsaire française.
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2. Grappe de raisin d’un canon de calibre 24. Épave du Juste (Loire-Atlantique, 1759). Découverte lors du forage d'un canon de l'épave par le laboratoire Arc'Antique. Bois, fonte de fer, cordage et textile de chanvre. Musée de l'Abbaye Sainte-Croix, Les-Sables-d’Olonne. Projectile composite destiné à tuer le plus grand nombre de soldats et de marins sur le navire ennemi.
2. Grappe de raisin d’un canon de calibre 24. Épave du Juste (Loire-Atlantique, 1759). Découverte lors du forage d'un canon de l'épave par le laboratoire Arc'Antique. Bois, fonte de fer, cordage et textile de chanvre. Musée de l'Abbaye Sainte-Croix, Les-Sables-d’Olonne. Projectile composite destiné à tuer le plus grand nombre de soldats et de marins sur le navire ennemi.
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3. Mortier d'apothicairerie et son pilon en bronze. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Prof. – 9 à – 18 m. Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo. Utilisés pour Ia préparation des remèdes, ces ustensiles participaient du coffre du chirurgien « garny de drogues, onguens, médicaments et autres choses nécessaires pour le pensement des malades ».
3. Mortier d'apothicairerie et son pilon en bronze. Epave de la Dauphine (Ille et Villaine). 1704. Prof. – 9 à – 18 m. Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo. Utilisés pour Ia préparation des remèdes, ces ustensiles participaient du coffre du chirurgien « garny de drogues, onguens, médicaments et autres choses nécessaires pour le pensement des malades ».
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1. Glaive et boucle de ceinture de légionnaire romain. Épave au marbre de Porto Nuovo (Corse du Sud, Ier siècle après J.-C.) Prof. - 12 m. Inventeur : Jacques Chaipetti, 1989. Fouille : Hélène Bernard (Drassm) et Jacques Chaipetti (Arsec), 1992 – 1995. Mairie de Lecci. La piraterie accompagnant le développement des routes commerciales, il est possible que des légionnaires aient été chargés de veiller à bord à la sécurité des cargaisons marchandes. 2. Inscription peinte sur une cruche échantillon commercial de vin romain Dépotoir Arles-Rhône 3 (B.-du-Rhône, IIe s. apr J.-C). Prof. - 10 m Fouille Sabrina Marlier, David Djaoui. Sandra Greck. 2011 Musée départemental Arles antique. Développée en Alb(anum) Valeri Proculi / Dol(ia) C XXXX Sexsagenaria, l'inscription renvoie à la production d'un, chai de 140 dolia de 60 urnes (1100 hectolitres), appartenant à un certain Valerius Proculus et localisé dans les monts Albains, près de Rome. 3. Lingot d'étain plano-convexé de Bretagne armoricaine. Épave Bloscon 1 (Finistère, IIe-IVe s. apr J.-C). Prof. - 10 m. Inventeurs : Franck Le Ven, Patrick Podeur et Noël Guidal 2014. Fouille : Olivia Hulot (Drassm). Drassm, Dalby. 4. Bouteille bellarmine en grès vernis au sel. Épave de la Dauphine (Ille-et-Vilaine, 1704). Prof. -18 m Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo (Nat 1036) Ces productions des ateliers rhénans de Frechen, près de Cologne (Allemagne), ont été diffusées dans le monde entier.
1. Glaive et boucle de ceinture de légionnaire romain. Épave au marbre de Porto Nuovo (Corse du Sud, Ier siècle après J.-C.) Prof. - 12 m. Inventeur : Jacques Chaipetti, 1989. Fouille : Hélène Bernard (Drassm) et Jacques Chaipetti (Arsec), 1992 – 1995. Mairie de Lecci. La piraterie accompagnant le développement des routes commerciales, il est possible que des légionnaires aient été chargés de veiller à bord à la sécurité des cargaisons marchandes. 2. Inscription peinte sur une cruche échantillon commercial de vin romain Dépotoir Arles-Rhône 3 (B.-du-Rhône, IIe s. apr J.-C). Prof. - 10 m Fouille Sabrina Marlier, David Djaoui. Sandra Greck. 2011 Musée départemental Arles antique. Développée en Alb(anum) Valeri Proculi / Dol(ia) C XXXX Sexsagenaria, l'inscription renvoie à la production d'un, chai de 140 dolia de 60 urnes (1100 hectolitres), appartenant à un certain Valerius Proculus et localisé dans les monts Albains, près de Rome. 3. Lingot d'étain plano-convexé de Bretagne armoricaine. Épave Bloscon 1 (Finistère, IIe-IVe s. apr J.-C). Prof. - 10 m. Inventeurs : Franck Le Ven, Patrick Podeur et Noël Guidal 2014. Fouille : Olivia Hulot (Drassm). Drassm, Dalby. 4. Bouteille bellarmine en grès vernis au sel. Épave de la Dauphine (Ille-et-Vilaine, 1704). Prof. -18 m Inventeur : Jean-Pierre Génar, 1995. Fouille : Michel L'Hour et Élisabeth Veyrat (Drassm). Musée d'Histoire de Saint-Malo (Nat 1036) Ces productions des ateliers rhénans de Frechen, près de Cologne (Allemagne), ont été diffusées dans le monde entier.
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