La chambre de Pauline de Caumont.
Mais l'une des particularités de ce décor reste la présence de singes dans les angles. A nouveau, comme pour les laques de Chine, la passion pour un orient rêvé s'exprime : de petits singes coiffés d'un chapeau ou jouant à la balançoire viennent animer les murs de ce salon de l'Hôtel de Caumont Ainsi ces gypseries viennent rejoindre les nombreuses «singeries» et «chinoiseries » qui peuplaient les intérieurs aristocratiques européens du 18e siècle.