Menton

La ville, le cimetierre du vieux château, le val Rahmeh, la belle époque

<center>Le bastion</center>L’histoire de Menton est très récente : elle date de 700 ans. Début XVI, les Mentonnais sortent des murs pour s’établir sur la place  du marché et y installer des magasins (en particulier des entrepôts de sel pour la gabelle) et quelques maisons d’habitation. Pour protéger ces habitants, le prince Honoré II au XVIIe va construire le bastion.
Le bastion
L’histoire de Menton est très récente : elle date de 700 ans. Début XVI, les Mentonnais sortent des murs pour s’établir sur la place du marché et y installer des magasins (en particulier des entrepôts de sel pour la gabelle) et quelques maisons d’habitation. Pour protéger ces habitants, le prince Honoré II au XVIIe va construire le bastion.
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<center>Le bastion</center>Au X siècle, Menton apparaît sur la colline de l’annonciade (Podium Pini). Au XII et XIII, la population s’installe sur l'emplacement actuel. En 1262, le nom de Menton apparaît pour la première fois sur un traité qui reconnaît Menton comme une concession à une famille génoise, les Vento. Guillaume Vento va donner à la ville, en 1290,ses premiers statuts. En 1346, il n’y a plus d’héritiers Vento et ce sont les Grimaldi, seigneurs de Monaco, qui vont se porter acquéreur par Charles Ier, et ils vont la garder jusqu’en 1848.
Le bastion
Au X siècle, Menton apparaît sur la colline de l’annonciade (Podium Pini). Au XII et XIII, la population s’installe sur l'emplacement actuel. En 1262, le nom de Menton apparaît pour la première fois sur un traité qui reconnaît Menton comme une concession à une famille génoise, les Vento. Guillaume Vento va donner à la ville, en 1290,ses premiers statuts. En 1346, il n’y a plus d’héritiers Vento et ce sont les Grimaldi, seigneurs de Monaco, qui vont se porter acquéreur par Charles Ier, et ils vont la garder jusqu’en 1848.
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<center>Le bastion</center>Les Grimaldi : Le premier prince de Monaco fut Rainier Ier (1297-1314), fils de Francesco Grimaldi dit le rusé, qui est l’ancêtre de la famille. Puis il y eut : Charles Ier, qui acheta Menton puis Roquebrune, Rainier II, Jean Ier, Catalan, Claudine et Lambert son époux et cousin, puis leurs fils Jean II, Lucien, Augustin, ensuite Honoré Ier le neveu, Charles II et son frère Hercule Ier, Honoré II (1597-1662) le premier prince de Monaco, Louis Ier, Antoine II, Louise et son mari Jacques Ier, Honoré III (1720-1795), Honoré IV, Honoré V, Florestan Ier, Charles III, Albert Ier (1848-1922), Louis II, Rainier III (1923-2005), Albert II.
Le bastion
Les Grimaldi : Le premier prince de Monaco fut Rainier Ier (1297-1314), fils de Francesco Grimaldi dit le rusé, qui est l’ancêtre de la famille. Puis il y eut : Charles Ier, qui acheta Menton puis Roquebrune, Rainier II, Jean Ier, Catalan, Claudine et Lambert son époux et cousin, puis leurs fils Jean II, Lucien, Augustin, ensuite Honoré Ier le neveu, Charles II et son frère Hercule Ier, Honoré II (1597-1662) le premier prince de Monaco, Louis Ier, Antoine II, Louise et son mari Jacques Ier, Honoré III (1720-1795), Honoré IV, Honoré V, Florestan Ier, Charles III, Albert Ier (1848-1922), Louis II, Rainier III (1923-2005), Albert II.
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<center>Le bastion</center>C'est aujourd'hui le musée Cocteau, avec des mosaïques murales en galet : le Pêcheur et la Mentonnaise.
Le bastion
C'est aujourd'hui le musée Cocteau, avec des mosaïques murales en galet : le Pêcheur et la Mentonnaise.
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<center>La rue Bréa.</center>La rue Bréa, tracée par Honoré II, aboutit à la chapelle des pénitents noirs
La rue Bréa.
La rue Bréa, tracée par Honoré II, aboutit à la chapelle des pénitents noirs
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<center>Porte St Antoine </center>C’est une de deux portes restantes sur les huit de la vieille ville.
Porte St Antoine
C’est une de deux portes restantes sur les huit de la vieille ville.
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<center></center>Le soubassement de la basilique St Michel au premier niveau, correspond à la redoute St Antoine destinée à la défense de la ville jusqu’au XVIe. Le danger venait de la mer car il n’y a pas de route jusqu’au XIXe.
Le soubassement de la basilique St Michel au premier niveau, correspond à la redoute St Antoine destinée à la défense de la ville jusqu’au XVIe. Le danger venait de la mer car il n’y a pas de route jusqu’au XIXe.
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<center></center>La rue longue traverse la ville d’Est en Ouest, elle est sur le tracé da la via Julia Augusta des romains.
La rue longue traverse la ville d’Est en Ouest, elle est sur le tracé da la via Julia Augusta des romains.
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<center></center>Les rampes et les escaliers monumentaux par Honoré III.
Les rampes et les escaliers monumentaux par Honoré III.
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<center>Eglise Saint-Michel.</center>St Michel terrasse le démon qui relève la tête, car le combat contre le mal est quotidien. Sur la gauche, st Maurice, qui vécut au IIIe, sur son bouclier, la croix de Savoie et à droite st Roch, qui a vécu au XIVe à Montpellier.
Eglise Saint-Michel.
St Michel terrasse le démon qui relève la tête, car le combat contre le mal est quotidien. Sur la gauche, st Maurice, qui vécut au IIIe, sur son bouclier, la croix de Savoie et à droite st Roch, qui a vécu au XIVe à Montpellier.
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<center></center>Jusqu’au XVIIe, la rue longue était entièrement bordée de maisons et ce sont les italiens qui ont décidé d’en abattre une pour accéder au quai Napoléon. Ce quai a été aménagé par Napoléon pour contourner la vielle ville, car pour se rendre en Italie, il avait emprunté la rue longue avec ses troupes, ce qui était très peu commode.
Jusqu’au XVIIe, la rue longue était entièrement bordée de maisons et ce sont les italiens qui ont décidé d’en abattre une pour accéder au quai Napoléon. Ce quai a été aménagé par Napoléon pour contourner la vielle ville, car pour se rendre en Italie, il avait emprunté la rue longue avec ses troupes, ce qui était très peu commode.
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<center></center>En face, le site préhistorique. En contre bas, à l’époque glaciaire, s’étendait une vaste plaine.
En face, le site préhistorique. En contre bas, à l’époque glaciaire, s’étendait une vaste plaine.
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<center>Eglise de la Conception ou chapelle des Pénitents Blancs.</center>St Erasme à gauche, st Isidore à droite, st Charles Boromée au centre et le bas-relief de l'Immaculée Conception.
Eglise de la Conception ou chapelle des Pénitents Blancs.
St Erasme à gauche, st Isidore à droite, st Charles Boromée au centre et le bas-relief de l'Immaculée Conception.
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<center>Eglise de la Conception ou chapelle des Pénitents Blancs.</center>
Eglise de la Conception ou chapelle des Pénitents Blancs.
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<center>Vestige du rempart.</center>
Vestige du rempart.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Guillaume Vento a fait édifier au sommet de la colline un château défensif. Il y avait huit portes qui permettait d’accéder à la ville. La porte st Jean permettait d’accéder à ce château composé d'un rez-de-chaussée et de deux niveaux. C’est là où les Mentonnais venaient se réfugier en cas de danger. Il n'en reste qu'un chaînage d’angle. Il est  abandonné dès le XVIe car ici, en 1505, Jean II, le prince régnant, a été tué par son frère Lucien, qui fut lui-même tué par son cousin Barthélemy d’Oria en 1523. Honoré II fit construire en contre bas le palais princier dans la rue longue. C’est un castellan qui va résider dans le vieux château : c’est lui qui va administrer la ville de Menton, sous l’autorité des Grimaldi. Au XVIIe, il va tomber en ruine. Au début du XIX, Napoléon va interdire les enterrements dans les églises et cimetières intra muros. En 1804, on va donc aménager le cimetière du vieux château.
Le cimetierre du vieux château.
Guillaume Vento a fait édifier au sommet de la colline un château défensif. Il y avait huit portes qui permettait d’accéder à la ville. La porte st Jean permettait d’accéder à ce château composé d'un rez-de-chaussée et de deux niveaux. C’est là où les Mentonnais venaient se réfugier en cas de danger. Il n'en reste qu'un chaînage d’angle. Il est abandonné dès le XVIe car ici, en 1505, Jean II, le prince régnant, a été tué par son frère Lucien, qui fut lui-même tué par son cousin Barthélemy d’Oria en 1523. Honoré II fit construire en contre bas le palais princier dans la rue longue. C’est un castellan qui va résider dans le vieux château : c’est lui qui va administrer la ville de Menton, sous l’autorité des Grimaldi. Au XVIIe, il va tomber en ruine. Au début du XIX, Napoléon va interdire les enterrements dans les églises et cimetières intra muros. En 1804, on va donc aménager le cimetière du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe du lieutenant Bosano, mort au Dahomey.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe du lieutenant Bosano, mort au Dahomey.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe de l’oncle et de la tante de Franklin Roosevelt, les Delano.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe de l’oncle et de la tante de Franklin Roosevelt, les Delano.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Chapelle orthoxe. Dès le XII, la famille Troubetzkoy a régné sur plusieurs villes russes. De nombreux aristocrates européens, en particulier russes, viennent à Menton pour soigner leur tuberculose au XIX. Jusqu’en 1860, la principale richesse de Menton était l’agrumiculture. Puis survint une mutation historique, Menton devient française, pour payer moins d’impôts. Quelques années après, en 1866, le prince Charles III supprima les impôts directs à Monaco qui avait perdu ses principales richesses avec Menton et Roquebrune. Il eut l’ingénieuse idée de construire le casino sur la colline qu’on appela Monte Carlo en son honneur. Le docteur Henri Benett, médecin de la reine Victoria, souffrait de la tuberculose, et il décide de voyager. Allant très mal, il s’arrête à Menton et après quelques semaines il va mieux et guérit : il pense que c’est le climat de Menton le responsable. Il le fait savoir, et beaucoup d’aristocrates vont venir pour se soigner. Ils vont louer des villas, puis on leur construira les palaces. Ils venaient avec leur personnel, leurs meubles. Ce n’est qu’en 1869 que le train arriva à Menton, ils arrivaient donc de Paris en calèche après un voyage de trois semaines. C’est le docteur Bellocchio qui les réceptionnait et leur proposait des bains de mer et de soleil.
Le cimetierre du vieux château.
Chapelle orthoxe. Dès le XII, la famille Troubetzkoy a régné sur plusieurs villes russes. De nombreux aristocrates européens, en particulier russes, viennent à Menton pour soigner leur tuberculose au XIX. Jusqu’en 1860, la principale richesse de Menton était l’agrumiculture. Puis survint une mutation historique, Menton devient française, pour payer moins d’impôts. Quelques années après, en 1866, le prince Charles III supprima les impôts directs à Monaco qui avait perdu ses principales richesses avec Menton et Roquebrune. Il eut l’ingénieuse idée de construire le casino sur la colline qu’on appela Monte Carlo en son honneur. Le docteur Henri Benett, médecin de la reine Victoria, souffrait de la tuberculose, et il décide de voyager. Allant très mal, il s’arrête à Menton et après quelques semaines il va mieux et guérit : il pense que c’est le climat de Menton le responsable. Il le fait savoir, et beaucoup d’aristocrates vont venir pour se soigner. Ils vont louer des villas, puis on leur construira les palaces. Ils venaient avec leur personnel, leurs meubles. Ce n’est qu’en 1869 que le train arriva à Menton, ils arrivaient donc de Paris en calèche après un voyage de trois semaines. C’est le docteur Bellocchio qui les réceptionnait et leur proposait des bains de mer et de soleil.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe d'Ernesta Sfern.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe d'Ernesta Sfern.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe de Carrollton. C'était un espion américain et un des fondateurs de l’hôpital de Neuilly.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe de Carrollton. C'était un espion américain et un des fondateurs de l’hôpital de Neuilly.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe d’une jeune polonaise, Janina Lewandowska.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe d’une jeune polonaise, Janina Lewandowska.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Ses parents voulaient voir chaque matin, de la ville, leur fille s’évader de son tombeau et s’élever vers le ciel.
Le cimetierre du vieux château.
Ses parents voulaient voir chaque matin, de la ville, leur fille s’évader de son tombeau et s’élever vers le ciel.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
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Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>La colonne tronquée représente la mort quand on est encore plein de vigueur.
Le cimetierre du vieux château.
La colonne tronquée représente la mort quand on est encore plein de vigueur.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>L’ange est le symbole de l’innocence, la couronne de roses celui de la brièveté de la vie.
Le cimetierre du vieux château.
L’ange est le symbole de l’innocence, la couronne de roses celui de la brièveté de la vie.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>William Webb Ellis, inventeur du rugby.
Le cimetierre du vieux château.
William Webb Ellis, inventeur du rugby.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>Tombe de William Webb Ellis.
Le cimetierre du vieux château.
Tombe de William Webb Ellis.
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<center>Le cimetierre du vieux château.</center>
Le cimetierre du vieux château.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Des Anglais passionnés de botanique le créent à la fin du XIX ème siècle. A partir de 1925, Lord Radcliffe, gouverneur de Malte, l'enrichit de plantes ramenées des deux hémisphères. Ce jardin devient en 1967 l'antenne méditerranéenne du Museum national d'Histoire naturelle. Spécialisé dans la famille des Solanacées, il abrite également des arbres fruitiers exotiques. Grâce au climat exceptionnel du quartier de Garavan, les agrumes, l'avocat d'Amérique centrale, l'anone d'Amérique tropicale y arrivent à maturité.
Le jardin du val Rahmeh.
Des Anglais passionnés de botanique le créent à la fin du XIX ème siècle. A partir de 1925, Lord Radcliffe, gouverneur de Malte, l'enrichit de plantes ramenées des deux hémisphères. Ce jardin devient en 1967 l'antenne méditerranéenne du Museum national d'Histoire naturelle. Spécialisé dans la famille des Solanacées, il abrite également des arbres fruitiers exotiques. Grâce au climat exceptionnel du quartier de Garavan, les agrumes, l'avocat d'Amérique centrale, l'anone d'Amérique tropicale y arrivent à maturité.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>
Le jardin du val Rahmeh.
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Le jardin du val Rahmeh.
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Le jardin du val Rahmeh.
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Le jardin du val Rahmeh.
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Le jardin du val Rahmeh.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Magnolia : c’est la première fleur qui est apparue sur terre.
Le jardin du val Rahmeh.
Magnolia : c’est la première fleur qui est apparue sur terre.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Le mélia ou lilas des Indes. Provient de Chine. On s’en sert pour le reboisement car il supporte bien la pollution. Son bois est rouge, on s’en servait dans les instruments de musique. Ses fruits (drupes) vont durcir et on s’en sert dans les bijoux et les chapelets pour les moines bouddhistes. 
Deux curiosités, deux plantes épiphytes, c’est-à-dire qu’elles se servent de l’arbre comme support, ce ne sont pas des parasites : la barbe de Jupiter et les cornes d’élan.
Le jardin du val Rahmeh.
Le mélia ou lilas des Indes. Provient de Chine. On s’en sert pour le reboisement car il supporte bien la pollution. Son bois est rouge, on s’en servait dans les instruments de musique. Ses fruits (drupes) vont durcir et on s’en sert dans les bijoux et les chapelets pour les moines bouddhistes. Deux curiosités, deux plantes épiphytes, c’est-à-dire qu’elles se servent de l’arbre comme support, ce ne sont pas des parasites : la barbe de Jupiter et les cornes d’élan.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Philodendron : ses fruits sont utilisés en agroalimentaire car ils ont un fort goût d’ananas. C’était la plante préférée du peintre Matisse.
Le jardin du val Rahmeh.
Philodendron : ses fruits sont utilisés en agroalimentaire car ils ont un fort goût d’ananas. C’était la plante préférée du peintre Matisse.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Dans ce bassin se trouvent des plantes aquatiques (jacinthe d’eau avec des ballons d’air, le pistia ou laitue d’eau)  et des plantes semi-aquatiques (nymphéa ou nénuphar).
Le jardin du val Rahmeh.
Dans ce bassin se trouvent des plantes aquatiques (jacinthe d’eau avec des ballons d’air, le pistia ou laitue d’eau) et des plantes semi-aquatiques (nymphéa ou nénuphar).
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Chorisia speciosa : famille du baobab, le tronc est une réserve d’eau,
Le jardin du val Rahmeh.
Chorisia speciosa : famille du baobab, le tronc est une réserve d’eau,
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>recouvert d'épines pour litter contre les prédateurs.
Le jardin du val Rahmeh.
recouvert d'épines pour litter contre les prédateurs.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Les fruits contiennent de la bourre soyeuse (kapok), c'est pour cela qu'on le nomme aussi le faux kapokier.
Le jardin du val Rahmeh.
Les fruits contiennent de la bourre soyeuse (kapok), c'est pour cela qu'on le nomme aussi le faux kapokier.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>
Le jardin du val Rahmeh.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>
Le jardin du val Rahmeh.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Tomates en arbre, ou tamarillo au Pérou, utilisées dans les confitures afin de les épaissir.
Le jardin du val Rahmeh.
Tomates en arbre, ou tamarillo au Pérou, utilisées dans les confitures afin de les épaissir.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Le Sophora toromiro. Cet arbuste d’environ 5 m de haut, endémique de l’île de Pâques, appartient à la famille des Légumineuses-Fabacées. L’île de Pâques était jadis couverte de petits arbres : les Sophora toromiro. Selon la tradition orale le toromiro aurait été apporté par le premier roi mythique Hotu Matua ; en réalité, la datation de pollens fossiles fait remonter sa présence sur l’île à plus de 38 000 ans. Autrefois, le Sophora toromiro était un arbre sacré planté dans les sanctuaires à proximité des divinités tutélaires. Les sculpteurs utilisaient son bois rouge, dur et imputrescible pour sculpter les insignes du pouvoir et les représentations d’ancêtres. Le Val Rahmeh cultive depuis plus de 10 ans ce ligneux en voie d’extinction.
Le jardin du val Rahmeh.
Le Sophora toromiro. Cet arbuste d’environ 5 m de haut, endémique de l’île de Pâques, appartient à la famille des Légumineuses-Fabacées. L’île de Pâques était jadis couverte de petits arbres : les Sophora toromiro. Selon la tradition orale le toromiro aurait été apporté par le premier roi mythique Hotu Matua ; en réalité, la datation de pollens fossiles fait remonter sa présence sur l’île à plus de 38 000 ans. Autrefois, le Sophora toromiro était un arbre sacré planté dans les sanctuaires à proximité des divinités tutélaires. Les sculpteurs utilisaient son bois rouge, dur et imputrescible pour sculpter les insignes du pouvoir et les représentations d’ancêtres. Le Val Rahmeh cultive depuis plus de 10 ans ce ligneux en voie d’extinction.
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Le cédrat est originaire de Chine et d'Inde . En Asie, sa culture remonte à la plus haute Antiquité. En Égypte, des fouilles archéologiques et des documents révèlent qu'on cultivait le cédrat trois siècles av. J.-C. Dans la religion juive, on croit que le cédrat est le fruit de la connaissance dans lequel Adam aurait mordu. Il était appelé Pomme de Médie par Alexandre le Grand qui l'a introduit au Moyen-Orient. Les Hébreux qui le découvrirent lors de leur captivité à Babylone, en firent un fruit sacré que l'on présentait en offrande au Temple le jour de la Fête des Tabernacles. Grâce aux différentes diasporas, il va essaimer tout autour de la Méditerranée. Puis les arabes vont le répandre en Afrique du nord, l’Espagne, l’Italie puis enfin la France. Le citron, au Xe va arriver d’abord en Italie. 
Parmi les variétés curieuses, remarquons le cédrat dit
Le jardin du val Rahmeh.
Le cédrat est originaire de Chine et d'Inde . En Asie, sa culture remonte à la plus haute Antiquité. En Égypte, des fouilles archéologiques et des documents révèlent qu'on cultivait le cédrat trois siècles av. J.-C. Dans la religion juive, on croit que le cédrat est le fruit de la connaissance dans lequel Adam aurait mordu. Il était appelé Pomme de Médie par Alexandre le Grand qui l'a introduit au Moyen-Orient. Les Hébreux qui le découvrirent lors de leur captivité à Babylone, en firent un fruit sacré que l'on présentait en offrande au Temple le jour de la Fête des Tabernacles. Grâce aux différentes diasporas, il va essaimer tout autour de la Méditerranée. Puis les arabes vont le répandre en Afrique du nord, l’Espagne, l’Italie puis enfin la France. Le citron, au Xe va arriver d’abord en Italie. Parmi les variétés curieuses, remarquons le cédrat dit "Etrog" qui, dans la religion juive, prend une signification symbolique dans le rituel de la fête des Tabernacles (Soucoth). Il existe également une variété très atypique, dite "Main de Bouddha", parce son fruit semble divisé en plusieurs "doigts".
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<center>Le jardin du val Rahmeh.</center>Palmier céleri.
Le jardin du val Rahmeh.
Palmier céleri.
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<center>Chapelle St Jacques du XVIIe.</center>
Chapelle St Jacques du XVIIe.
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<center>Chapelle St Jacques du XVIIe.</center>
Chapelle St Jacques du XVIIe.
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<center>Chapelle St Jacques du XVIIe.</center>
Chapelle St Jacques du XVIIe.
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<center>La mairie.</center>Ce bâtiment fut d’abord un hôtel privé construit en 1860 pour et par le baron Ardoïno, puis c’est le théâtre des folies bergères et ensuite le cercle des étrangers. La ville l’acquit en 1898 et y installa la mairie et un musée en 1902. La salle des mariages est décorée par Cocteau.
La mairie.
Ce bâtiment fut d’abord un hôtel privé construit en 1860 pour et par le baron Ardoïno, puis c’est le théâtre des folies bergères et ensuite le cercle des étrangers. La ville l’acquit en 1898 et y installa la mairie et un musée en 1902. La salle des mariages est décorée par Cocteau.
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<center>La mairie.</center>Au sommet, le blason de la ville : st Michel terrassant le démon.
La mairie.
Au sommet, le blason de la ville : st Michel terrassant le démon.
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<center>Louis Laurenti.</center>Ce monument a été érigé en l’honneur de Louis Laurenti, le maire de menton, qui dès la première secousse du tremblement de terre de 1887, assisté du Commissaire central et aidé par toutes les autorités civiles et militaires, a pris toutes les mesures propres à rassurer les habitants. L'autorité municipale a demandé immédiatement des baraquements et des hommes du génie, pour les construire ainsi que pour démolir les immeubles présentant un danger. Puis il a télégraphié à M. Borriglione député des A.M., pour lui demander son intervention auprès du gouvernement. Les Mentonnais ont approuvé le dévouement et l'efficacité de leur maire.
Louis Laurenti.
Ce monument a été érigé en l’honneur de Louis Laurenti, le maire de menton, qui dès la première secousse du tremblement de terre de 1887, assisté du Commissaire central et aidé par toutes les autorités civiles et militaires, a pris toutes les mesures propres à rassurer les habitants. L'autorité municipale a demandé immédiatement des baraquements et des hommes du génie, pour les construire ainsi que pour démolir les immeubles présentant un danger. Puis il a télégraphié à M. Borriglione député des A.M., pour lui demander son intervention auprès du gouvernement. Les Mentonnais ont approuvé le dévouement et l'efficacité de leur maire.
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<center>L'orient Palace.</center>L’Orient Palace, construit en 1884 par l’architecte Sylvain Riquet. L’aspect est un décor de façade, plaqué en 1920 pour satisfaire le goût orientaliste des Anglais. Le mot orientaliste a été inventé par Victor Hugo. Le blanc, repousse la chaleur tandis que le bleu repousse les insectes. Il est orienté plein sud pour satisfaire à l’héliothérapie, très en vogue en ce temps là. Il est maintenant divisé en appartements.
L'orient Palace.
L’Orient Palace, construit en 1884 par l’architecte Sylvain Riquet. L’aspect est un décor de façade, plaqué en 1920 pour satisfaire le goût orientaliste des Anglais. Le mot orientaliste a été inventé par Victor Hugo. Le blanc, repousse la chaleur tandis que le bleu repousse les insectes. Il est orienté plein sud pour satisfaire à l’héliothérapie, très en vogue en ce temps là. Il est maintenant divisé en appartements.
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<center>L'orient Palace.</center>
L'orient Palace.
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<center>L'orient Palace.</center>
L'orient Palace.
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<center>Fries de Cerutti Maori.</center>L'Histoire de la Frise est indissociable du développement économique et architectural contemporain de l'essor du tourisme. L'exemple le plus frappant est celui de la famille Cerutti Maori. Carlo Cerutti Maori naît en 1828 des amours clandestines d'un Officier Hongrois et d'une noble milanaise; élevé comme un orphelin dans une famille paysanne, il la quitte pour faire son apprentissage auprès d'un peintre itinérant. Il débute dans la peinture sacrée allant d'église en église. En 1863, après bien des aventures il pose ses pinceaux à Menton, développe l'activité de
Fries de Cerutti Maori.
L'Histoire de la Frise est indissociable du développement économique et architectural contemporain de l'essor du tourisme. L'exemple le plus frappant est celui de la famille Cerutti Maori. Carlo Cerutti Maori naît en 1828 des amours clandestines d'un Officier Hongrois et d'une noble milanaise; élevé comme un orphelin dans une famille paysanne, il la quitte pour faire son apprentissage auprès d'un peintre itinérant. Il débute dans la peinture sacrée allant d'église en église. En 1863, après bien des aventures il pose ses pinceaux à Menton, développe l'activité de "fresquiste" (Palais des Princes, Palais Carnolès, villas privées).A sa mort en 1890, Guillaume, son fils, poursuit son œuvre : réfection de l'Eglise St. Joseph, de l'Eglise St. Michel entre 1886 et 1890. L'entreprise compte alors 100 employés. Elle réalise entre autres les fresques du Casino de Biarritz. Parmi les frises Cerutti Maori, encore visibles à Menton : La Maison d'Adhémar de Lantagnac, la propriété Gastaldi, le Sanatorium de Gorbio, la Fondation Bariquand et le Palais Glena, rue Guyau considéré comme un joyau de cet art. Les céramiques et les cabochons sont de la manufacture des Saïssi.
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<center>Un bigaradier.</center>L’orange a été cultivée en premier par les Portugais qui vont ensuite les répandre en Europe. C’est un hybride, au début il existait le cédrat, l’orange amère ou bigarade et le pamplemousse.
Un bigaradier.
L’orange a été cultivée en premier par les Portugais qui vont ensuite les répandre en Europe. C’est un hybride, au début il existait le cédrat, l’orange amère ou bigarade et le pamplemousse.
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<center>Palais de l’Europe</center>Construit en 1909 par l’architecte Tersling, le Kursaal, aujourd’hui Palais de l’Europe, fut le premier casino de Menton. Tersling s’est inspiré des grandes halles (halles Baltard, halles de Lyon). C’est un architecte éclectique, comme Garnier. Cette école s’inspire des styles du passé et d’autres pays. Il ferma en 1933.
Palais de l’Europe
Construit en 1909 par l’architecte Tersling, le Kursaal, aujourd’hui Palais de l’Europe, fut le premier casino de Menton. Tersling s’est inspiré des grandes halles (halles Baltard, halles de Lyon). C’est un architecte éclectique, comme Garnier. Cette école s’inspire des styles du passé et d’autres pays. Il ferma en 1933.
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<center>Jardins Biovès.</center>Les jardins portent le nom d’Emile Biovès, maire de Menton à la fin du XIX ème siècle. Ces jardins occupent le lit recouvert du Carei, et la ville y a aménagé une très belle promenade en enfilade, décorée de palmiers, d'orangers, de massifs fleuris. C'est sur cette promenade que se déroule la Fête du citron.
Jardins Biovès.
Les jardins portent le nom d’Emile Biovès, maire de Menton à la fin du XIX ème siècle. Ces jardins occupent le lit recouvert du Carei, et la ville y a aménagé une très belle promenade en enfilade, décorée de palmiers, d'orangers, de massifs fleuris. C'est sur cette promenade que se déroule la Fête du citron.
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<center>Hôtel Winter Palace. </center>Hôtel de 220 chambres construit en 1901 par l'architecte Albert Tournaire, sur les terrains de l'Hôtel-Riviera Palace. Le décor intérieur a été modifié depuis sa construction, et l'hôtel est actuellement transformé en appartements.
Hôtel Winter Palace.
Hôtel de 220 chambres construit en 1901 par l'architecte Albert Tournaire, sur les terrains de l'Hôtel-Riviera Palace. Le décor intérieur a été modifié depuis sa construction, et l'hôtel est actuellement transformé en appartements.
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