Eze

Le vieux village d’Eze, ancienne forteresse médiévale, a succédé à une première agglomération implantée à l’origine sur l’oppidum du Bastide. Les Ligures du mont Bastide commerçaient avec les Grecs dès le IVe s. av. J.-C., ensuite ils furent romanisés comme les autres peuples indigènes des Alpes- Maritimes. Au Moyen Age, pour des raisons de sécurité, le village est transféré sur le piton rocheux. La première famille d’Eze apparaît au XIIe s., issue des comtes de Nice. Eze est érigé en comté en 1592. Les remparts du XIIe s. seront démantelés en 1706 par ordre de Louis XIV. Provençale, Eze passe au Comté de Savoie en 1388, comme Nice. Dès lors, elle suivra sa destinée. En 1543, elle subit l’offensive de la flotte ottomane de Soliman Le Magnifique allié à François Ier. Aux cours des XVIIe et XVIIIe siècles, le village sera occupé et dévasté à plusieurs reprises par les armées françaises. En 1860, les Ezasques se prononceront à l’unanimité pour le rattachement à la France.
Le vieux village d’Eze, ancienne forteresse médiévale, a succédé à une première agglomération implantée à l’origine sur l’oppidum du Bastide. Les Ligures du mont Bastide commerçaient avec les Grecs dès le IVe s. av. J.-C., ensuite ils furent romanisés comme les autres peuples indigènes des Alpes- Maritimes. Au Moyen Age, pour des raisons de sécurité, le village est transféré sur le piton rocheux. La première famille d’Eze apparaît au XIIe s., issue des comtes de Nice. Eze est érigé en comté en 1592. Les remparts du XIIe s. seront démantelés en 1706 par ordre de Louis XIV. Provençale, Eze passe au Comté de Savoie en 1388, comme Nice. Dès lors, elle suivra sa destinée. En 1543, elle subit l’offensive de la flotte ottomane de Soliman Le Magnifique allié à François Ier. Aux cours des XVIIe et XVIIIe siècles, le village sera occupé et dévasté à plusieurs reprises par les armées françaises. En 1860, les Ezasques se prononceront à l’unanimité pour le rattachement à la France.
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Isis serait à l’origine du nom Eze. D’après une autre étymologie le nom de la commune viendrait du latin Avisio qui signifie “Point de vue”, ”panorama. Cette version est étayée par l’itinéraire maritime d’Antonin, établi pendant l’antiquité entre 96 et 193 après Jésus Christ, qui mentionne un lieu nommé Avisio à l’emplacement actuel d’Eze. D'autres hypothèses sur l’étymologie d’Eze sont encore avancées. Pour certains il s’agirait du dieu gaulois Hésus, pour d’autres la racine du nom remonterait au sanscrit… La première mention écrite du nom Eze date de 1075, elle figure dans un document de l’abbaye Saint-Pons de Nice. Eze, c’est aussi le nom d’une famille seigneuriale. Si aujourd’hui cette orthographe s’est imposée, au XIXe siècle on utilisait aussi les noms Eza et Esa, Frédéric Nietzsche parle ainsi du ”merveilleux village maure d’Eza bâti au milieu des rochers...”
Isis serait à l’origine du nom Eze. D’après une autre étymologie le nom de la commune viendrait du latin Avisio qui signifie “Point de vue”, ”panorama. Cette version est étayée par l’itinéraire maritime d’Antonin, établi pendant l’antiquité entre 96 et 193 après Jésus Christ, qui mentionne un lieu nommé Avisio à l’emplacement actuel d’Eze. D'autres hypothèses sur l’étymologie d’Eze sont encore avancées. Pour certains il s’agirait du dieu gaulois Hésus, pour d’autres la racine du nom remonterait au sanscrit… La première mention écrite du nom Eze date de 1075, elle figure dans un document de l’abbaye Saint-Pons de Nice. Eze, c’est aussi le nom d’une famille seigneuriale. Si aujourd’hui cette orthographe s’est imposée, au XIXe siècle on utilisait aussi les noms Eza et Esa, Frédéric Nietzsche parle ainsi du ”merveilleux village maure d’Eza bâti au milieu des rochers...”
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Croix du jubilée et du concile œcuménique de 1869.
Croix du jubilée et du concile œcuménique de 1869.
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A l’entrée du village, malgré les stigmates du temps et les offensives sarrasines et françaises, la poterne du XIVe siècle semble encore attendre d’éventuels assaillants. Une canonnière du XVIe siècle protège la première porte.
A l’entrée du village, malgré les stigmates du temps et les offensives sarrasines et françaises, la poterne du XIVe siècle semble encore attendre d’éventuels assaillants. Une canonnière du XVIe siècle protège la première porte.
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Des corbeaux trahissent la présence de bretèches sur le chemin de ronde accessible par un escalier situé après la seconde porte.
Des corbeaux trahissent la présence de bretèches sur le chemin de ronde accessible par un escalier situé après la seconde porte.
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La seconde porte.
La seconde porte.
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Avec les remparts et le château, la
Avec les remparts et le château, la "Poterne" assurait l'essentiel de l'appareil défensif delà cité située aux confins du comté de Savoie. Au milieu XVIe siècle; la Maison de Savoie fut en guerre aux côtés de Charles Quint contre François 1er et son allié le Turc Soliman Le Magnifique. Cet ensemble composé d'une double porte protégée par deux tours et un pont-levis ne résista pas aux troupes franco-turques commandées par Barberousse qui occupèrent le village en 1543
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Le chemin de ronde est accessible par un escalier situé après la seconde porte.
Le chemin de ronde est accessible par un escalier situé après la seconde porte.
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Rue principale.
Rue principale.
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Fausses persiennes, en trompe l’œil, sur une façade de la rue principale.
Fausses persiennes, en trompe l’œil, sur une façade de la rue principale.
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Fausses persiennes, en trompe l’œil, sur une façade de la rue principale.
Fausses persiennes, en trompe l’œil, sur une façade de la rue principale.
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Le Planet. C’est l’un des derniers propriétaires de la maison des Riquier qui fit installer la fontaine italianisante en 1930. L’alimentation en eau resta longtemps tributaire des citernes du village. Il faudra attendre 1952 pour que l’eau arrive dans les maisons.
Le Planet. C’est l’un des derniers propriétaires de la maison des Riquier qui fit installer la fontaine italianisante en 1930. L’alimentation en eau resta longtemps tributaire des citernes du village. Il faudra attendre 1952 pour que l’eau arrive dans les maisons.
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"Le Château des Riquier" ou "Château Barlow", est l'une des plus imposantes demeures du village. Dans les armées trente elle fut le théâtre de réceptions données par son propriétaire, un riche Américain, monsieur Barlow. Les Riquier, originaires de Nice, furent parmi les premiers seigneurs connus à Eze et le village fut leur plus ancien fief à l’extérieur de Nice. Leur domination dura du XIIIe au XVIe siècle.
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La porte de la maison des Riquier est ornée de bas- reliefs.
La porte de la maison des Riquier est ornée de bas- reliefs.
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Avec les volets bleus, la maison de Francis Blanche.
Avec les volets bleus, la maison de Francis Blanche.
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Place Francis Blanche.
Place Francis Blanche.
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Maison 1988-1991. Architecte Wolfg Müller.
Maison 1988-1991. Architecte Wolfg Müller.
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Le Château Eza. Cet ensemble d'habitations s'ouvrant sur une des plus belles perspectives de la Côte d'Azur, fut choisi par le prince Guillaume de Suède, fils aîné du roi Gustave V de Suède, pour en faire sa résidence d'hiver. De 1923 à 1953, la famille royale y résida à de nombreuses reprises. Il fut connu jusqu'en 1976 sous le nom de Château du Prince de Suède.
Le Château Eza. Cet ensemble d'habitations s'ouvrant sur une des plus belles perspectives de la Côte d'Azur, fut choisi par le prince Guillaume de Suède, fils aîné du roi Gustave V de Suède, pour en faire sa résidence d'hiver. De 1923 à 1953, la famille royale y résida à de nombreuses reprises. Il fut connu jusqu'en 1976 sous le nom de Château du Prince de Suède.
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Passage des Sarrazins. Porte des Maures.
Passage des Sarrazins. Porte des Maures.
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Passage des Sarrazins.
Passage des Sarrazins.
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La Chapelle de la Sainte Croix connue aussi sous le nom de Chapelle des Pénitents Blancs, datée de 1306, à l'époque des grandes épidémies de peste, serait le plus ancien édifice de la commune. C’est là que les membres de l’ordre laïc des Pénitents Blancs d’Eze, chargés de porter assistance aux pestiférés, se réunissaient. La forme de son clocheton évoque l’appartenance du village à la Provence jusqu’à la fin du XIVe siècle. Les 15 et 16 avril 1860, c’est dans cette chapelle que les Ezasques votèrent à l’unanimité le rattachement de leur village à la France. Bâtie au XVIIe s. et restaurée en 1959, elle ouvre sous une voûte de la rue de la Pise.
La Chapelle de la Sainte Croix connue aussi sous le nom de Chapelle des Pénitents Blancs, datée de 1306, à l'époque des grandes épidémies de peste, serait le plus ancien édifice de la commune. C’est là que les membres de l’ordre laïc des Pénitents Blancs d’Eze, chargés de porter assistance aux pestiférés, se réunissaient. La forme de son clocheton évoque l’appartenance du village à la Provence jusqu’à la fin du XIVe siècle. Les 15 et 16 avril 1860, c’est dans cette chapelle que les Ezasques votèrent à l’unanimité le rattachement de leur village à la France. Bâtie au XVIIe s. et restaurée en 1959, elle ouvre sous une voûte de la rue de la Pise.
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Sur l’autel, crucifix de l’école espagnole (1258), et une Vierge du XIVe s. à dr. ciborium du XVIe s.
Sur l’autel, crucifix de l’école espagnole (1258), et une Vierge du XIVe s. à dr. ciborium du XVIe s.
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Sur les murs, décoration de Michel-Marie Poulain (1954).
Sur les murs, décoration de Michel-Marie Poulain (1954).
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Le jardin exotique d’Eze est aménagé sur l’emplacement d’une ancienne forteresse médiévale à 429 mètres au-dessus de la Méditerranée. Le panorama est l’un des plus exceptionnels de la Riviera. Le regard porte jusqu’aux monts de l’Esterel et au golfe de Saint-Tropez.
Le jardin exotique d’Eze est aménagé sur l’emplacement d’une ancienne forteresse médiévale à 429 mètres au-dessus de la Méditerranée. Le panorama est l’un des plus exceptionnels de la Riviera. Le regard porte jusqu’aux monts de l’Esterel et au golfe de Saint-Tropez.
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Créé en 1949 par l’ingénieur agronome Jean Gastaud, le Jardin Exotique regroupe plusieurs centaines de plantes succulentes. Ces agaves, ces aloès, ces euphorbes et ces cactus croissent et se reproduisent dans ces ruines arides. Ils semblent illustrer à leur manière la devise de la commune : Moriendo Renascor, en mourant, je renais.
Créé en 1949 par l’ingénieur agronome Jean Gastaud, le Jardin Exotique regroupe plusieurs centaines de plantes succulentes. Ces agaves, ces aloès, ces euphorbes et ces cactus croissent et se reproduisent dans ces ruines arides. Ils semblent illustrer à leur manière la devise de la commune : Moriendo Renascor, en mourant, je renais.
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Au sommet du village, à 429 mètres au-dessus de la mer, surplombant un des panoramas les plus exceptionnels de la Riviera, les silhouettes des cactus et les vestiges du Château s’élèvent vers les cieux.
Au sommet du village, à 429 mètres au-dessus de la mer, surplombant un des panoramas les plus exceptionnels de la Riviera, les silhouettes des cactus et les vestiges du Château s’élèvent vers les cieux.
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Justine ou Isis. Vous m'avez reconnu... Je suis la même Et pourtant autre. Le nom de cette statue de Jean-Philippe Richard évoque la déesse égyptienne de la vie et de la fertilité. Selon la tradition les Phéniciens la vénéraient en ces lieux. Isis serait à l’origine du nom Eze.
Justine ou Isis. Vous m'avez reconnu... Je suis la même Et pourtant autre. Le nom de cette statue de Jean-Philippe Richard évoque la déesse égyptienne de la vie et de la fertilité. Selon la tradition les Phéniciens la vénéraient en ces lieux. Isis serait à l’origine du nom Eze.
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Le Cleistocactus strausii est un cactus cierge couvert de « poils » blancs. Ce cactus est rustique, en effet il peut supporter des températures allant jusqu’à -12°C. Il est très bien acclimaté à la région méditerranéenne. Il possède des épines dorées, courtes et dépassant des poils. Sa tige est verte, avec de nombreuses côtes peu marquées, et est couverte de poils blancs courts. Le Cleistocactus strausii atteint 2 mètres de hauteur environ et forme une touffe par ses rejets au pied. Ses fleurs sont rouges et horizontales.
Le Cleistocactus strausii est un cactus cierge couvert de « poils » blancs. Ce cactus est rustique, en effet il peut supporter des températures allant jusqu’à -12°C. Il est très bien acclimaté à la région méditerranéenne. Il possède des épines dorées, courtes et dépassant des poils. Sa tige est verte, avec de nombreuses côtes peu marquées, et est couverte de poils blancs courts. Le Cleistocactus strausii atteint 2 mètres de hauteur environ et forme une touffe par ses rejets au pied. Ses fleurs sont rouges et horizontales.
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Une plante est dite grasse ou succulente lorsqu'elle emmagasine l'eau pour résister à la sécheresse. Si le Jardin d’Eze possède de nombreuses succulentes venues d'Afrique ou d’Amérique adaptées aux climats arides, il existe aussi des plantes succulentes vivant dans d’autres milieux, autour déjà Méditerranée ou en forêt tropicale. Le stockage s'effectue dans les parties charnues à tissu pulpeux ou fibreux, les feuilles et les tiges en particulier. Ces plantes ont développé des stratégies pour limiter l’évaporation : peau lisse parfois recouverte de cire, pilosité, épines à la place des feuilles. De nombreuses plantes succulentes, les cactus et des agaves notamment/ arrivèrent en Europe à l'époque des grandes Découvertes. La première cactée aurait été ramenée par Christophe Colomb mais il faut attendre la renaissance pour avoir des informations sur ces plantes. Le premier agave fut importé au XVIe siècle et le premier à fleurir sur le vieux continent avec sa hampe de plusieurs mètres fit sensation. C'est, entre autres, au général Weber, un membre du corps expéditionnaire de Maximilien d’Autriche en 1865, que l'on doit l'acclimatation des plantes grasses sur la Côte d’Azur. Aujourd'hui, cactus, agaves, aloès et euphorbes font partie intégrante des paysages de la Côte d'Azur.
Une plante est dite grasse ou succulente lorsqu'elle emmagasine l'eau pour résister à la sécheresse. Si le Jardin d’Eze possède de nombreuses succulentes venues d'Afrique ou d’Amérique adaptées aux climats arides, il existe aussi des plantes succulentes vivant dans d’autres milieux, autour déjà Méditerranée ou en forêt tropicale. Le stockage s'effectue dans les parties charnues à tissu pulpeux ou fibreux, les feuilles et les tiges en particulier. Ces plantes ont développé des stratégies pour limiter l’évaporation : peau lisse parfois recouverte de cire, pilosité, épines à la place des feuilles. De nombreuses plantes succulentes, les cactus et des agaves notamment/ arrivèrent en Europe à l'époque des grandes Découvertes. La première cactée aurait été ramenée par Christophe Colomb mais il faut attendre la renaissance pour avoir des informations sur ces plantes. Le premier agave fut importé au XVIe siècle et le premier à fleurir sur le vieux continent avec sa hampe de plusieurs mètres fit sensation. C'est, entre autres, au général Weber, un membre du corps expéditionnaire de Maximilien d’Autriche en 1865, que l'on doit l'acclimatation des plantes grasses sur la Côte d’Azur. Aujourd'hui, cactus, agaves, aloès et euphorbes font partie intégrante des paysages de la Côte d'Azur.
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La nature et l’évolution face à des contraintes climatiques comparables en différents points du globe apportent des réponses similaires. Les cactus, originaires du continent américain, peuvent être abusifs, globulaires comme les coussins de belle-mère (Echinocaclus grusonii) ou colonnaires tel le Cierge à tête de vieillard (CephaIocereus senlis). Les euphorbes succulentes, natives d’Afrique adoptent les mêmes réponses face à la sécheresse au point qu’il est parfois difficile de les distinguer. On reconnait les cactus des euphorbes à quelques critères. Le cactus possède des alvéoles munies d’aiguillons, tandis que sur l’euphorbe les épines fixées sur l’épiderme sont souvent groupées par deux. Si la sève du cactus aqueuse et son fruit parfois comestible comme la figue de barbarie issue de Opuntia ficus indica, l’euphorbe sécrète un latex blanc toxique. Les euphorbes donnent de nombreuses petites fleurs, celles des cactus sont de dimensions plus importantes, parfois munies d’écailles et en général de couleur vive. Celles de l’Echinopsis possèdent par exemple de grands pétales blancs et des étamines jaunes.
La nature et l’évolution face à des contraintes climatiques comparables en différents points du globe apportent des réponses similaires. Les cactus, originaires du continent américain, peuvent être abusifs, globulaires comme les coussins de belle-mère (Echinocaclus grusonii) ou colonnaires tel le Cierge à tête de vieillard (CephaIocereus senlis). Les euphorbes succulentes, natives d’Afrique adoptent les mêmes réponses face à la sécheresse au point qu’il est parfois difficile de les distinguer. On reconnait les cactus des euphorbes à quelques critères. Le cactus possède des alvéoles munies d’aiguillons, tandis que sur l’euphorbe les épines fixées sur l’épiderme sont souvent groupées par deux. Si la sève du cactus aqueuse et son fruit parfois comestible comme la figue de barbarie issue de Opuntia ficus indica, l’euphorbe sécrète un latex blanc toxique. Les euphorbes donnent de nombreuses petites fleurs, celles des cactus sont de dimensions plus importantes, parfois munies d’écailles et en général de couleur vive. Celles de l’Echinopsis possèdent par exemple de grands pétales blancs et des étamines jaunes.
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Ferocactus pilosus. Le nom vient du latin ferus (= féroce) par référence aux épines acérées. Derière, une Euphorbia candelabrum.
Ferocactus pilosus. Le nom vient du latin ferus (= féroce) par référence aux épines acérées. Derière, une Euphorbia candelabrum.
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Les derniers vestiges du Château témoignent de la conscience avec laquelle les soldats de Louis XIV démantelèrent, en 1706, cette forteresse quasi-circulaire haute de plusieurs niveaux. Ces ruines nous rappellent que l'histoire du Château est intimement liée à celle du village. Objet de convoitises, les populations s'y succèdent depuis l'Âge du Fer. Son histoire peut être résumée en quelques étapes. Dès l'Âge du Fer vers 220 av. J.-C., les populations locales s'abritent sur le rocher d'Eze. Quelques fragments de murailles élevées en appareil cyclopéens dans le village témoignent de cette occupation précoce.
Les derniers vestiges du Château témoignent de la conscience avec laquelle les soldats de Louis XIV démantelèrent, en 1706, cette forteresse quasi-circulaire haute de plusieurs niveaux. Ces ruines nous rappellent que l'histoire du Château est intimement liée à celle du village. Objet de convoitises, les populations s'y succèdent depuis l'Âge du Fer. Son histoire peut être résumée en quelques étapes. Dès l'Âge du Fer vers 220 av. J.-C., les populations locales s'abritent sur le rocher d'Eze. Quelques fragments de murailles élevées en appareil cyclopéens dans le village témoignent de cette occupation précoce.
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Les Ezasques édifièrent leurs habitations sous cette forteresse à l'écart de la voie d'accès. Le château fut bâti dans la seconde partie du XIIe siècle par la famille d'Eze quand le village appartenait encore à la Provence. Après le rattachement d’Eze à la Maison de Savoie en 1388, les ducs de Savoie adaptèrent les fortifications aux progrès, de l’artillerie.. Pour le garder, les comtes de Provence puis les ducs de Savoie s'appuyaient sur des officiers valeureux et d'expérience appelés
Les Ezasques édifièrent leurs habitations sous cette forteresse à l'écart de la voie d'accès. Le château fut bâti dans la seconde partie du XIIe siècle par la famille d'Eze quand le village appartenait encore à la Provence. Après le rattachement d’Eze à la Maison de Savoie en 1388, les ducs de Savoie adaptèrent les fortifications aux progrès, de l’artillerie.. Pour le garder, les comtes de Provence puis les ducs de Savoie s'appuyaient sur des officiers valeureux et d'expérience appelés "les Castellans". Ils étaient nommés pour un an et prêtaient le serment d’entretenir le château et d'empêcher qu’il soit pris par l’ennemi. En 1706, pendant la guerre de Succession d'Espagne, Louis XIV conscient de la position stratégique de ce nid d'aigle, point d’observation; situé entre La Turbie et Villefranche-sur-Mer, ordonne sa destruction sur les recommandations du ministre de la guerre. Une partie des ruines existantes correspondraient aux citernes du château.
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Mélisande. Qui m'a rêvée ? Qui m'a créée ? À qui ai-je dit oui ?
Mélisande. Qui m'a rêvée ? Qui m'a créée ? À qui ai-je dit oui ?
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Marina. De l’une à l’autre, Semblable et différente, Unique certainement.
Marina. De l’une à l’autre, Semblable et différente, Unique certainement.
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Les sculptures, du Jardin, compagnes silencieuses et intemporelles de votre visite, sont l’œuvre de Jean-Philippe Richard, sculpteur présent dans de nombreuses galeries françaises et étrangères. Depuis 1990, il explore les mystères de la féminité dans son atelier de Mirabel en Baronnies dans la Drôme. Ses femmes sont pétries d’éternité, qu’elles soient faites de bronze, de cristal ou de terre. C’est à partir de cette dernière matière qu’il appelle “poussière d’étoiles” que l'artiste leur a donné la vie. Délicates, sensuelles et mystérieuses, ces déesses de terre côtoient avec harmonie les plantes du Jardin d’Eze.
Les sculptures, du Jardin, compagnes silencieuses et intemporelles de votre visite, sont l’œuvre de Jean-Philippe Richard, sculpteur présent dans de nombreuses galeries françaises et étrangères. Depuis 1990, il explore les mystères de la féminité dans son atelier de Mirabel en Baronnies dans la Drôme. Ses femmes sont pétries d’éternité, qu’elles soient faites de bronze, de cristal ou de terre. C’est à partir de cette dernière matière qu’il appelle “poussière d’étoiles” que l'artiste leur a donné la vie. Délicates, sensuelles et mystérieuses, ces déesses de terre côtoient avec harmonie les plantes du Jardin d’Eze.
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Avec son volume simple, son clocher accolé au chœur en contrebas des ruines du château, l'église d’Eze-Village a été bâtie par l’architecte Antonio Spinelli de 1764 à 1778 en remplacement de l’ancienne église devenue vétuste. Une partie des -fonds nécessaires furent alloués par le duc Charles Emmanuel III de Savoie. Elle est consacrée le 17 mai 1772.
Avec son volume simple, son clocher accolé au chœur en contrebas des ruines du château, l'église d’Eze-Village a été bâtie par l’architecte Antonio Spinelli de 1764 à 1778 en remplacement de l’ancienne église devenue vétuste. Une partie des -fonds nécessaires furent alloués par le duc Charles Emmanuel III de Savoie. Elle est consacrée le 17 mai 1772.
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Construite sur les bases d’une église du XIIe siècle, L’église d’Eze-Village de style néo-classique, du XVIIIe siècle, est dédiée à Notre-Dame de l’Assomption. L’édifice a été classé au titre des Monuments historiques le 5 décembre 1984. L’église a été reconstruite, en remplacement de la précédente qui tombait en ruines, entre 1764 et 1778 par l’architecte italien Antoine Spinelli, à la demande du duc Charles-Emmanuel III de Savoie. Elle fut consacrée en 1772.
Construite sur les bases d’une église du XIIe siècle, L’église d’Eze-Village de style néo-classique, du XVIIIe siècle, est dédiée à Notre-Dame de l’Assomption. L’édifice a été classé au titre des Monuments historiques le 5 décembre 1984. L’église a été reconstruite, en remplacement de la précédente qui tombait en ruines, entre 1764 et 1778 par l’architecte italien Antoine Spinelli, à la demande du duc Charles-Emmanuel III de Savoie. Elle fut consacrée en 1772.
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Le clocher, au cadran bleu, qui évoque la couleur de la Vierge, est plus récent. Edifié au XIXe siècle, carré, à deux étages, a été plusieurs fois frappé par la foudre qui a fait disparaître la coupole d’origine.
Le clocher, au cadran bleu, qui évoque la couleur de la Vierge, est plus récent. Edifié au XIXe siècle, carré, à deux étages, a été plusieurs fois frappé par la foudre qui a fait disparaître la coupole d’origine.
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Au XVIIIe siècle, la façade était rehaussée d’une figure de Notre-Dame de l’Assomption, la sainte patronne, et des armes de Sardaigne puisque le comte de Savoie était aussi roi de Sardaigne. Son aspect presque classique contraste avec son intérieur Baroque.
Au XVIIIe siècle, la façade était rehaussée d’une figure de Notre-Dame de l’Assomption, la sainte patronne, et des armes de Sardaigne puisque le comte de Savoie était aussi roi de Sardaigne. Son aspect presque classique contraste avec son intérieur Baroque.
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MARIE Œuvre du Sculpteur Jean-Philippe Richard Statue représentant la féminité, la tête tournée vers les étoiles et les pieds ancrés dans la terre, elle est le trait d’union entre le monde symbolique et le monde réel, elle se veut à la fois rassurante et humble dans un monde dur et instable.
MARIE Œuvre du Sculpteur Jean-Philippe Richard Statue représentant la féminité, la tête tournée vers les étoiles et les pieds ancrés dans la terre, elle est le trait d’union entre le monde symbolique et le monde réel, elle se veut à la fois rassurante et humble dans un monde dur et instable.
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Les bas-côtés couverts de tuiles vernissées révèlent la présence à l’intérieur de chapelles latérales de chaque côté de la nef unique.
Les bas-côtés couverts de tuiles vernissées révèlent la présence à l’intérieur de chapelles latérales de chaque côté de la nef unique.
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A l’intérieur, on retrouve la disposition à nef unique rythmée par des chapelles latérales séparées du chœur par un arc triomphal caractéristique de l’art baroque
A l’intérieur, on retrouve la disposition à nef unique rythmée par des chapelles latérales séparées du chœur par un arc triomphal caractéristique de l’art baroque
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Vraies et fausses fenêtres, vraie et fausse chaire se répondent dans des jeux de trompe-l’œil typiques de l’art baroque. Chacune des chapelles est consacrée à un saint ou à une fonction : les prières aux défunts, la Vierge, les saint guérisseurs – avec notamment saint Grat protecteur des récoltes – et les animaux avec saint François d’Assise. Ces saints représentés sur des toiles marouflées, encadrées de stucs et de faux marbres révèlent les préoccupations des Ezasques à l’époque des Lumières.
Vraies et fausses fenêtres, vraie et fausse chaire se répondent dans des jeux de trompe-l’œil typiques de l’art baroque. Chacune des chapelles est consacrée à un saint ou à une fonction : les prières aux défunts, la Vierge, les saint guérisseurs – avec notamment saint Grat protecteur des récoltes – et les animaux avec saint François d’Assise. Ces saints représentés sur des toiles marouflées, encadrées de stucs et de faux marbres révèlent les préoccupations des Ezasques à l’époque des Lumières.
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Statue de l’Assomption (XVIIIe s.) attribuée à Muerto.
Statue de l’Assomption (XVIIIe s.) attribuée à Muerto.
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Aux quatre coins, les évangélistes. Au fond, à gauche, Jean, à droite, Matthieu. Devant, Marc et Luc.
Aux quatre coins, les évangélistes. Au fond, à gauche, Jean, à droite, Matthieu. Devant, Marc et Luc.
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Fonts baptismaux.
Fonts baptismaux.
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Saint Jean-Baptiste.
Saint Jean-Baptiste.
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Fonts baptismaux du XVe s, avec la croix de Savoie.
Fonts baptismaux du XVe s, avec la croix de Savoie.
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Cette chapelle est dédiée à tous les défunts des guerres et aux nôtres.
Cette chapelle est dédiée à tous les défunts des guerres et aux nôtres.
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Saint Michel fait monter les âmes du Purgatoire au Paradis.
Saint Michel fait monter les âmes du Purgatoire au Paradis.
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Saint-Sébastien, Saint-Antoine l'hermitte, Saint Grat qui aurait découvert en Palestine la tête de saint Jean Baptiste dans un puits, il la présente sur un plateau. Saint Grat à une réputation de saint agraire : lors d'une terrible invasions de rats dans la ville d'Aoste il aurait aspergé les rongeurs d'eau bénite en leur ordonnant de s'éloigner. Il est donc vénéré par les vignerons et les cultivateurs comme protecteur des récoltes contre les nuisibles et le insectes, mais aussi des tempêtes, de la grêle, tout comme saint thaumaturge
Saint-Sébastien, Saint-Antoine l'hermitte, Saint Grat qui aurait découvert en Palestine la tête de saint Jean Baptiste dans un puits, il la présente sur un plateau. Saint Grat à une réputation de saint agraire : lors d'une terrible invasions de rats dans la ville d'Aoste il aurait aspergé les rongeurs d'eau bénite en leur ordonnant de s'éloigner. Il est donc vénéré par les vignerons et les cultivateurs comme protecteur des récoltes contre les nuisibles et le insectes, mais aussi des tempêtes, de la grêle, tout comme saint thaumaturge
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Chapelle Saint François d'Assise.
Chapelle Saint François d'Assise.
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Frère François d’Assise Dit
Frère François d’Assise Dit "le Petit Pauvre". Riche, il donne tous ses biens aux pauvres, et prêche, avec des jeunes l'Amour de Jésus et des pauvres. c'est le protecteur d’Eze.
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sur ce tableau figure l’une des seules représentations du château encore en place avec, à son sommet, le drapeau de la Maison de Savoie.
sur ce tableau figure l’une des seules représentations du château encore en place avec, à son sommet, le drapeau de la Maison de Savoie.
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La croix égyptienne rappelle qu’Eze plonge ses racines dans les mystères de la déesse Isis. Selon la tradition, les Phéniciens y auraient érigé un temple à son honneur.
La croix égyptienne rappelle qu’Eze plonge ses racines dans les mystères de la déesse Isis. Selon la tradition, les Phéniciens y auraient érigé un temple à son honneur.
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Le chemin de croix.
Le chemin de croix.
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Dans le petit cimetière disposé en terrasses, face au vallon de l’Aighetta, l'acteur et humoriste Francis Blanche repose depuis 1974.
Dans le petit cimetière disposé en terrasses, face au vallon de l’Aighetta, l'acteur et humoriste Francis Blanche repose depuis 1974.
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Tombe de Francis Blanche.
Tombe de Francis Blanche.
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Au fond, la presqu'île de St Jean-Cap-Ferrat
Au fond, la presqu'île de St Jean-Cap-Ferrat
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Sur le chemin de Nietzsche. A partir de 1883 Friedrich Nietzsche séjourne à plusieurs reprises sur la Côte d‘Azur. C’est pendant l’ascension de ce chemin depuis te Bord de Mer jusqu'au du ”merveilleux village maure d’Eza bâti au milieu des rochers” qu’il composa la troisième partie de son œuvre Ainsi parlait Zarathoustra.
Sur le chemin de Nietzsche. A partir de 1883 Friedrich Nietzsche séjourne à plusieurs reprises sur la Côte d‘Azur. C’est pendant l’ascension de ce chemin depuis te Bord de Mer jusqu'au du ”merveilleux village maure d’Eza bâti au milieu des rochers” qu’il composa la troisième partie de son œuvre Ainsi parlait Zarathoustra.
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Sur le chemin de Nietzsche.
Sur le chemin de Nietzsche.
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Sur le chemin de Nietzsche. Le Château de la Chèvre d'Or, du nom de cet animal fabuleux qui égarait les imprudents à la recherche de ses trésors.
Sur le chemin de Nietzsche. Le Château de la Chèvre d'Or, du nom de cet animal fabuleux qui égarait les imprudents à la recherche de ses trésors.
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Sur le chemin de Nietzsche. Jardin du Château de la Chèvre d'Or.
Sur le chemin de Nietzsche. Jardin du Château de la Chèvre d'Or.
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Sur le chemin de Nietzsche.
Sur le chemin de Nietzsche.
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